Rodrigue, as-tu du coeur ?
Pierre Corneille
La pièce du bas avait le même air de misère et d'abandon.
Alphonse Daudet
La peur - c'est un roulement de tombereau, la nuit, dans un bois où ne passe aucune route.
André Hardellet
Le bonheur, c'est d'être célèbre pour ta réussite financière et d'assouvir tes caprices.
Bill Watterson
J'préfère avoir un ennemi que la moitié d'un poto.
Booba
Prendre l'action à son compte, n'y vouloir de marque que la sienne, affronter seul le destin, passion âpre et exclusive qui caractérise le chef.
Charles de Gaulle
Le fantôme est comme la goutte d'eau qui nous fuit et que l'on ne peut saisir s'imbibant dans son élément. Pour lui, son lieu en est l'atmosphère à nous en faire peur par tant de mystères...
Descrea
Du roi nu au roi mort, la distance n'est pas si longue. C'est pourquoi, au lendemain des révolutions vaincues, les vestiaires de l'histoire s'emplissent de rois qui se rhabillent.
François Bott
Que ce monde soit absurde, c'est l'affaire des philosophes et des humanistes. Mais qu'il soit injuste, c'est notre affaire à tous.
Gilbert Cesbron
Si on nous enlevait tout ce qui nous fait mal, que resterait-il ?
Henri Barbusse
Un enfant, c'est comme si tu avais une espèce d'organe en plus qui se balade... Ça t'appartient mais ce n'est pas vraiment à toi.
Jacques Dutronc
Automatisme, c'est, pour moi, un développement entièrement déterminé par un événement initial quelconque.
Paul Valéry
Apprendre à étouffer ses doutes, les jeter, s'en débarrasser. Le poids des morts est un fardeau. Les doutes détruisent. Les certitudes élèvent. Les ambitions, la volonté, la force et le courage font la grandeur. Le doute est une mort lente, un épuisement de la race. Il y aura une victoire ou une chute.
Sébastien Spitzer
Ces jeunes déesses eussent sans nul doute fait fondre la neige et dégelé la nature aux feux de leurs prunelles.
Théophile Gautier
L'homme ne peut se donner ni sensation, ni idée, il reçoit tout : la peine et le plaisir lui viennent d'ailleurs, comme son être.
Voltaire
Je songeais au début de l'hiver en montagne, au silence absolu et au vœu que je formulais toujours étant enfant, de voir la neige recouvrir tout, le village et la vallée et les plus hauts sommets, m'imaginant alors ce qui se passerait quand au printemps, le dégel venu, nous sortirions des glaces.
W. G. Sebald