Un homme est exténué par le travail et vit quand même misérable ; c'est là une chose révoltante, mais ce n'est pas pour cela qu'elle cessera ; elle disparaîtra probablement parce que l'homme est une sorte de machine, et qu'il y a avantage au point de vue économique à faire fonctionner une machine quelconque dans son régime normal, sans la forcer.