Punissez-vous vous-même, afin que la justice de Dieu qui est plus grand, vos fautes ne punisse.
Pierre de Ronsard
Sans le fard de l'amour par qui tout s'apprécie, Les graces sont sans force, et la beauté sans vie. Daignez donc jusqu'à vous, laissant aller ses traits, Leur laisser embellir encore vos attraits.
Antoine Bret
Je veux être adopté par les français. Je veux aller vivre à Paris.
Asia Argento
Les vrais amis sont des solitaires qui s'acceptent.
Catherine Hermary-Vieille
Nous consacrons des milliards de livres à l'aide sociale, mais des millions sont prisonniers de l'aide sociale. Ça ne vaut pas la peine d'aller travailler.
David Cameron
Quand l'ennemi nous bat, au lieu de réagir nous nous occupons de cacher notre faiblesse.
Donato Carrisi
Il n'y a qu'une voie pour chacun de nous ; la trouver est facile, s'y maintenir très difficile.
Edmond Jaloux
Les individus qui vont demander des conseils aux tireurs de cartes sont des imbéciles, sans doute, mais il ne doit cependant pas être permis de les exploiter ; aussi, je le répète, je ne comprends pas l'indulgence de la police.
François Eugène Vidocq
Hieron envoya à la feste des jeux olympiques, des chevaux pour courir.
Jacques Amyot
La forme même d'un outil d'apparence insignifiante pouvait avoir des répercussions presque à l'infini.
Junichiro Tanizaki
L'homme agit comme s'il ne devait jamais mourir, et sans cela il n'agirait guère.
Louis Dumur
Rien de plus fragile que des amis d'enfance : il suffit de les perdre de vue pour que, l'instant d'après, on doute de leurs existences.
Michel Bélil
Tout l'art d'écrire des lettres est dans l'emploi de ces finesses opportunes, de ces nuances par l'effet desquelles on donne aux gens l'impression que l'on parle d'eux, tout en ne parlant que de soi.
Paul Reboux
Noyez mon âme au flot de votre Vin, - Fondez ma vie au Pain de votre Table, - Noyez mon âme au flot de votre Vin.
Paul Verlaine
Le système générait son propre espoir comme une machine à fabriquer du paradis à portée de main.
Thomas B. Reverdy
... mon excrément capillaire, ma moustache...
William Shakespeare