Citation de Pierre Gérin

Le poète voit l'avenir avec ses yeux de prophète ; peut-être même le suscite-t-il, si puissant est son verbe.... - Pierre Gérin

Le poète voit l'avenir avec ses yeux de prophète ; peut-être même le suscite-t-il, si puissant est son verbe.

Pierre Gérin

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La mort d'un académicien est un événement grave à coup sûr, ce n'est pas un événement triste.

Alfred Capus

On ne s'imagine Platon et Aristote qu'avec de grandes robes de pédants. C'étaient des gens honnêtes et, comme les autres, riant avec leurs amis ; et, quand ils se sont divertis à faire leurs Lois et leur Politique, ils l'ont fait en se jouant.

Blaise Pascal

Si, en être désencombré tu fixes l'enfant dans les yeux, dans le fond de ses prunelles, tu pourras voir Dieu.

Daniel Pons

Les miracles accomplis sur les champs de bataille nous ont appris que les plus mauvais drôles pouvaient s'y transformer en héros...

Honoré de Balzac

Rien ne grise comme le vin du malheur.

Honoré de Balzac

Quand on lit Rimbaud, on est plus riche que la veille, mais on sait aussi qu'on écrit beaucoup moins bien.

Jacques Brel

L'enfance est un voyage oublié.

Jean de La Varende

J'ai déjà dit que je ne crois pas à l'expérience des autres.

Louis Aragon

Il n'y a pas de fatalité pour celui qui veut bien oser.

Nicolas Sarkozy

Un cou crasseux fait une pipe culottée.

Paul Éluard

Le temps n'est pas aux élections, mais à la sécurité et à la survie par rapport à la nouvelle guerre mondiale qui semble être déclenchée par les islamistes...

Philippe de Villiers

Il en est de certaines caves comme des musées. On souhaiterait de s'y laisser enfermer après l'heure ; d'entendre claquer la serrure et s'éloigner les pas du gardien pour surprendre les conciliabules de la nuit.

Pierre Veilletet

Il y a beaucoup plus de sûreté et plus d'honneur en la résistance qu'en la fuite.

René Descartes

Pour améliorer le monde, il faut commencer par améliorer son propre coeur, et sa tête, et ses mains - puis avancer, progressivement, vers le reste du monde.

Robert Maynard Pirsig

Quand on porta aux Invalides - Les cendres de Napoléon 1er, - On s'aperçut, c'est trop stupide, - Qu'il n'y avait pas de cendrier.

Tristan Bernard