Citation de Pierre-Jakez Hélias

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Morte Maï Zall qui récurait si bien les soupières et les plats à chaque fricot où elle était obligatoirement invitée. Les repas... - Pierre-Jakez Hélias

Morte Maï Zall qui récurait si bien les soupières et les plats à chaque fricot où elle était obligatoirement invitée. Les repas de noces sont toujours abondants mais déjà plus raffinés.

Pierre-Jakez Hélias

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Ah, l'argent ! Qu'on en ait ou qu'on en manque ; c'est toujours lui la cause du mal.

Agatha Christie

La musique est la seule chose qui va donner et donner et donner et ne pas prendre.

Amy Winehouse

Mais qui est vraiment avec nous ? Seulement ceux qu'on aime.

Claude Roy

Une instruction judiciaire ressemble à une dévastation.

Florence Aubenas

Après cette observation, Luizzi se posa commodément dans son fauteuil, comme un abonné de cabinet de lecture, à qui l'on a envoyé la nouvelle, le conte ou le roman à la mode.

Frédéric Soulié

Quand on ne tient les hommes que par le sexe, on ne tient pas grand-chose !

Ginette Garcin

Les lois sont comme les proverbes : on en trouve toujours une qui justifie la violation de l'autre.

Henry Maret

N'est-ce pas vouloir détrôner la perfection que d'essayer à tuer les charmes de la mémoire et les espérances qui survivent à un amant perdu, précisément parce qu'il n'a réveillé que des désirs, tout ce que l'amour a de plus beau, de plus séduisant.

Honoré de Balzac

Le monde est une comédie pour ceux qui réfléchissent et une tragédie pour ceux qui sentent.

Horace Walpole

L'on commenceoit desjà à fermer le camp de la closture de paliz.

Jacques Amyot

L'homme à qui des humains le sort est confié, Doit condamner sans haine et punir sans pitié.

Lucien Arnault

J'ai faim, dit Anton à haute voix, et il comprit qu'il avait peur.

Michel Demuth

Quand une femme se raconte, c'est son coeur qui parle, et non son intelligence.

Micheline Lachance

Moi qui fais profession des choses muettes.

Nicolas Poussin

Tu perds la tête, tu déménages, tu travailles du chapeau, tu as les méninges en accordéon, tu as une araignée au plafond, tu as le timbre fêlé, tu ondules de la toiture, tu es bon pour le cabanon. Ou, tout simplement : tu deviens fou.

Stephen King