Je ne nie pas la divinité de Boccace, et je reconnais que les compositions de Pétrarque sont merveilleuses ; mais, bien que j'admire leur génie, je ne cherche pas à me servir d'eux comme d'un masque. Je crois au jugement de ces deux esprits éternels ; mais, tout en croyant en eux, j'ajoute aussi quelque peu de foi au mien.