Et le crépuscule de printemps limpide et rose, éclairait leur table familiale, que servait et desservait, depuis des années, la même bonne appelée Miette.
Pierre Loti
La beauté n'est que l'ombre annonçant la lumière.
Alain Gagnon
Selon certaines sources, il y aurait un spermatozoïde de Chuck Norris dans un lac écossais...
Anonyme
L'abstinence et la mortification sont des vertus de barbares.
Ernest Renan
En face de cet arbre que vous voyez là-bas, l'arbre des suppliciés, l'arbre des sacrifices de mes anciens, j'avais pris l'engagement, il y a bientôt trente ans, à ma sortie de l'école, en reconnaissance de tout ce que les Akoués ont fait pour moi, d'offrir d'autres sacrifices, le sacrifice d'amour-propre, le sacrifice d'argent, le sacrifice de moi-même.
Félix Houphouët-Boigny
C'est pas pour dire, t'es pas bavard... t'as le bourdon, pour sûr... Ah ! la la... c'est comme si je te voyais ! Tu dois être un doux, toi... un sentimental...
Henri-Georges Clouzot
Le feu de bois. Toute cette fête, toute cette vie. Puis cette agonie, puis cette mort, cette déboulée des bûches.
Jules Renard
Quand un homme a prouvé qu'il a du talent, il lui reste à prouver qu'il sait s'en servir.
Conscience : Petit caillou dans la chaussure qui nous aide à marcher droit.
Laurent Baffie
S'il est vrai que nos joies soient courtes, la plupart de nos afflictions ne sont pas longues.
Luc de Clapiers
On donne son opinion selon sa condition.
Marguerite de Navarre
Si vous fûtes vaillant, je le suis aujourd'hui, Et ce bras du royaume est le plus ferme appui.
Pierre Corneille
Cette langue dépasse mes pauvres forces ; elle va plus vite que ma pauvre volonté. Elle me scandalise, me fait rougir, à d'autres moment rire, non d'une langue de fou, mais d'artiste trop fort pour l'être, humain, que je suis encore
Pierre Guyotat
Je ne sais quoi va naître de plus grand que l'Iliade.
Properce
L'Angoisse, ce minuit, soutient, lampadophore, Maint rêve vespéral brûlé par le Phénix.
Stéphane Mallarmé
Petits papillons d'un moment, Invisibles marionnettes, Qui volez si rapidement De Polichinelle au néant, Dites-moi donc ce que vous êtes.
Voltaire