Citation de Pierre Louÿs

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Laissez-vous tenter par la fortune de chaque jour et promener par la bonne étoile. Son conseil est facile à suivre.... - Pierre Louÿs

Laissez-vous tenter par la fortune de chaque jour et promener par la bonne étoile. Son conseil est facile à suivre.

Pierre Louÿs

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Pour me détendre, je fais l'amour ou je surfe.

Cameron Diaz

Lire est une vie surnuméraire pour ceux à qui vivre ne suffit pas.

Catherine Millet

Si tu ouvres tes portes, tous les loups peuvent entrer.

Daniel Desbiens

Lui seul se souvenait de son fils, lui seul en parlait encore d'une voix tremblante et émue.

Emile Zola

Rêver de la vie, c'est justement ce que j'appelle : "être éveillé".

Friedrich Nietzsche

Oh ! je suis entré bien par hasard. Ou plus exactement, par une assez curieuse coïncidence.

Jules Romains

J'essaye de me faire plaisir. Je n'essaie pas d'anticiper ce que les gens veulent voir.

Kevin Costner

Ceinte d'astres, la Nuit au milieu de sa course, Vers l'Occident plus noir poussait le char de l'Ourse. Tout se taisait, les monts, les villes et les bois, Les cris du misérable et le souci des rois ; Les Dieux dormaient, rêvant l'odeur des sacrifices.

Leconte de Lisle

Un général est comme un écrivain qui veut faire une certaine pièce, un certain livre, et que le livre lui-même, avec les ressources inattendues qu'il révèle ici, l'impasse qu'il présente là, fait dévier extrêmement du plan préconçu.

Marcel Proust

Chose étrange, la plus belle chose que l'homme puisse faire, c'est d'essayer et de ne pas réussir.

Mesa Selimovic

De tous les dangers, le plus grand est de sous-estimer son ennemi.

Pearl Buck

Mieux vaut une bonne querelle que la solitude.

Proverbe Irlandais

A moins de naître d'en haut nul ne peut voir le royaume de Dieu.

Saint Jean

Pour connaître l'homme, il suffit de s'étudier soi-même ; pour connaître les hommes, il faut les pratiquer. - Je connais très peu les hommes. Mes études ont été sur l'homme.

Stendhal

Je voudrais bien savoir quel plaisir prennent les puissances chrétiennes à recevoir tous les jours des nasardes sur le nez de leurs ambassadeurs dans le divan de Stamboul.

Voltaire