Citation de Pierre Mac Orlan

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Quelques mois lui semblaient encore nécessaires pour démasquer un terrible bandit et le livrer à la justice.... - Pierre Mac Orlan

Quelques mois lui semblaient encore nécessaires pour démasquer un terrible bandit et le livrer à la justice.

Pierre Mac Orlan

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La maladie la plus constante et la plus mortelle, mais aussi la plus méconnue de toute société, est l'indifférence.

Abbé Pierre

Qui ne sait que la nuit a des puissances telles, que les femmes y sont, comme les fleurs, plus belles.

Alfred de Musset

En vérité, le bonheur qui prend élan sur la misère, je n'en veux pas.

André Gide

Les espoirs des hommes instruits valent mieux que la richesse des ignorants.

Démocrite

La sainteté me fait frémir : cette ingérence dans les malheurs d'autrui, cette barbarie de la charité, cette pitié sans scrupules...

Emil Cioran

La perfection de l'humanité ne sera pas l'extinction, mais l'harmonie des nationalités : les nationalités vont bien plutôt se fortifiant que s'affaiblissant ; détruire une nationalité, c'est détruire un son dans l'humanité.

Ernest Renan

Il y a un monde de différence entre une croche de Mahler et une croche normale.

Gustav Mahler

Les choses sont une façade, une croûte, Dieu seul est. Mais dans les livres il y a quelque chose de divin.

Henri Michaux

Notre médecin n'opère jamais sans nécessité. S'il n'avait pas besoin d'argent, il ne poserait jamais la main sur vous.

Herb Shriner

Chez certaines gens, un habit neuf, c'est presque un beau visage.

Marivaux

Il y a pire qu'un garçon qui vous déteste : un garçon qui vous aime.

Markus Zusak

Mais, à l'expression de ton visage, je comprends que tu veux raconter combien nous sommes pauvres, combien nous sommes différents des gens qui lisent tes romans. Je ne voudrais pas que tu me mettes dans un tel roman.

Orhan Pamuk

Dieu nous a placés dans ce monde merveilleux pour y être heureux et jouir de la vie.

Robert Baden-Powell

Ce que les adultes prennent pour des fadaises de conteur sont simplement des vérités auxquelles ils n'ont plus accès.

Romain Sardou

Ah ! Juste une précision pour les étrangers qui nous écoutent... Contrairement aux apparences, François Fillon, l'homme mesuré, posé et distingué, c'est le Premier ministre. Et l'autre, le petit brun gouailleur sous Prozac, c'est le Président de la République.

Stéphane Guillon