Le plus grand mal, Ã part l'injustice, serait que l'auteur de l'injustice ne paie pas la peine de sa faute.
Platon
Que je sois antisocial est un fait, mais est-ce la faute de la société ou la mienne ?
Antonin Artaud
Je pense qu'il est toujours bon de se mesurer à des choses qui semblent plus grandes que vous. Ensuite, vous essayez juste de les surmonter.
Cate Blanchett
J'ai pénétré bien des mystères - Dont les humains sont ébahis : - Grimoires de tous les pays, - Etres et lois élémentaires.
Charles Cros
Les Romains adoraient leurs enseignes guerrières, les aigles. Notre enseigne à nous, Américains, n'est que le dixième d'un aigle, un dollar. Mais nous égalisons les choses en l'adorant d'une adoration décuple.
Edgar Allan Poe
Cette attente idiote qui l'empêche de vivre, c'est sa vie. Pourquoi les hommes rendent-ils creux ce qui est plein ?
Éric-Emmanuel Schmitt
Les femmes attachent de l'importance à la pudeur physique pour avoir moins à se soucier de la pudeur morale.
Etienne Rey
La présence d'une brique de jus d'orange dans le frigo ne signifie pas forcément qu'il reste du jus d'orange. Ou alors, avec une jolie couleur verte.
Fabien Rohrhust
La vieillesse vous tombe dessus un beau matin sans crier gare... Mais, tant qu'on ne se voit pas dans une glace, on n'a pas l'impression d'être vieille.
Fannie Flagg
Il faut avant tout se garantir de la misère ; tout autre malheur doit peu affecter un homme jeune et bien portant ; mais le besoin, la dépendance, et le mépris des autres empoisonnent la vie, flétrissent l'âme, abâtardissent le génie.
Gabriel Sénac de Meilhan
Le peuple n'a besoin de personne, il se suffit à lui-même.
Jean-Marie Adiaffi
Quand juillet commencera, - Ta faux affûteras.
Proverbe Français
Le femme commence là où finit l'histoire.
Roland Barthes
Avant que j'aie mon enfant, les animaux ont été ma vie. Je dormais avec quatre chiens dans mon lit.
Salma Hayek
Si vous ne votez pas, vous n'avez pas d'importance.
Sean Penn
La télévision rend intelligent les gens qui n'ont pas accès à la culture et abrutit ceux qui se croient cultivés.
Umberto Eco