La patience (nécessité) est une plante amère.
Proverbe Allemand
Vous pouvez tromper quelques personnes tout le temps. Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps. Mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps.
Abraham Lincoln
Les quatre conditions du bonheur : la vie en plein air, l'amour d'un autre être, l'absence d'ambition, la création.
Albert Camus
La musique de Mozart est si pure et belle que je la vois comme un reflet de la beauté intérieure de l'univers.
Albert Einstein
En fait le verbe croire se réfère à deux attitudes fort différentes : admettre la sincérité de celui qui s'exprime, ou admettre la véracité d'un fait. (...) Je peux croire en la sincérité d'un témoin et ne pas croire le contenu de son témoignage.
Albert Jacquard
Est perdu celui qui ne se connaît pas à sa juste valeur.
Ali ibn Abi Talib
Nos hommes politiques d'aujourd'hui, à l'exception de quelques-uns, sont-ils de grands hommes ? C'est douteux : ils font de la politique une entreprise sanglante. Ils affament nos peuples, exilent nos cadres, sèment la mort !
Camara Laye
Oui, c'est un bien grand mal, pour les honnêtes gens, qu'un homme pervers s'élève aux honneurs en charmant le peuple par son éloquence alors qu'il n'était rien la veille.
Euripide
L'hiver. Le mot seul possède une assonance antipathique.
François Latraverse
Cor aux pieds : Indique le changement de temps mieux qu'un baromètre. Très dangereux quand il est mal coupé : citer des exemples d'accidents terribles.
Gustave Flaubert
Un homme de lettre porte avec soi, dans sa tête, une collection d'outils tranchants : son vocabulaire.
H. G. Wells
La confiance ne se commande pas, et la bonté ne se présume pas.
Henri-Frédéric Amiel
Ceux qui veulent recevoir aucune chose que l'on verse d'un vase en un autre, enclinent et tournent leurs vases la bouche devers ce que l'on y verse.
Jacques Amyot
Mon plus grand échec est mon absence d'échecs.
Jean d'Ormesson
Crois moi : la mort nous suit à toute heure, à tout pas.
Jean-Baptiste Chassignet
J'ai vécu, je suis mort, - Inerte, blême, au fond d'un lugubre entonnoir. - Je descends d'heure en heure, d'année en année, - A travers le Muet, l'Immobile et le Noir.
Leconte de Lisle