Citation de Proverbe Chinois

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Si l'on ne peut pas appeler patrie, un pays où l'on ne possède rien ; comment nommer celui où l'on est esclave ?... - Proverbe Chinois

Si l'on ne peut pas appeler patrie, un pays où l'on ne possède rien ; comment nommer celui où l'on est esclave ?

Proverbe Chinois

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Chacun travaille pour tous les autres. Nous ne pouvons nous passer de personne.

Aldous Huxley

La chance sourit à ceux qui n'ont pas compté sur elle.

Anonyme

Moi, j'ai voulu goûter aussi aux amours honnêtes, et la coupe s'est brisée entre mes mains !

Armand de Pontmartin

Le châtiment de l'exil doit se dérouler sur la terre maternelle.

Chinua Achebe

Il faut savoir tremper sa plume dans le bleu du ciel.

Félix Leclerc

Il y a chez toute courtisane quelque chose de religieux qui porte ses clients aux confidences.

Frédéric Dard

Monsieur le capitaliste affirme, sournois : "C'est le destin qui fait les pauvres".

Hilal Naji

Dieu régit tout, non pas comme l'âme du monde, mais comme souverain absolu de tout ce qui existe. Et c'est à raison de cette puissance sans bornes que Dieu fut appelé maître universel ou Pantocrator.

Isaac Newton

Car mon bateau est mon trésor, mon Dieu, c'est la liberté ; ma loi, la force et le vent ; mon unique patrie, la mer.

José de Espronceda

Lorsqu'une femme s'est faufilée dans le coeur d'un homme, les yeux de cet homme sont tournés en dedans et ne voient qu'elle, en sorte qu'il est aveugle à tout le reste pendant un temps.

Pearl Buck

Mémoire du mal a longue trace ; mémoire du bien tantôt passe.

Proverbe Français

On avait pas le même sens de l'humour ; il était très anglais, il était indéniablement anglais. Dans ses mots et dans ses gestes, Roger était un bon James Bond.

Sean Connery

Que de choses absurdes chez cet imbécile

Sigmund Freud

Musulmans, athées et juifs ont nourri ma foi de chrétienne, écrit-elle. Ils ont élargi ma compréhension de Dieu.

Soeur Emmanuelle

Le premier des plaisirs et la plus belle gloire, C'est de prodiguer les bienfaits : Si vous en répandez, perdez-en la mémoire ; Si vous en recevez, publiez-le à jamais.

Voltaire