Bienvenu soit le mal qui vient tout seul.
Proverbe Espagnol
Assez souvent dans l'acte créatif, il y a des moments d'urgence absolue... un étrange déclic se produit dans votre cerveau : vous ne supputez plus la phrase suivante, vous ne cogitez plus. Vous oeuvrez, c'est tout.
Douglas Kennedy
Mon prédécesseur a imposé des personnes riches et prospères à un taux plus élevé que jamais. Et ce qui est arrivé ? Ils sont partis. Et qu'est-il arrivé ? Le chômage a-t-il baissé ? Non.
Emmanuel Macron
Oh ! si tu pouvais lire dans mon coeur, tu verrais la place où je t'ai mise !
Gustave Flaubert
Attentif comme un père, il fournissait à tous mes besoins.
Honoré de Balzac
Si en quelques endroicts ces fables n'ont aucune conformité avec chose croyable, il est besoing que les lisans m'excusent gracieusement, recevans en gré ce que l'on peult escrire de choses si anciennes.
Jacques Amyot
Il commanda que promptement on luy trassast et designast (dessinât) la forme de la ville selon l'assiette du lieu.
Les aises de la vie, l'abondance, le calme d'une grande prospérité font que les princes ont de la joie de reste pour vivre...
Jean de La Bruyère
Il y a deux femmes dans la femme. La première est un animal, doux, dévoué par nature ; la seconde un animal fou, méchant, trouvant un âpre plaisir aux souffrances de ce qui lui est associé dans la vie.
Les frères Goncourt
En France tout finit par des fleurs de rhétorique.
Louis Aragon
Dans le ton do par exemple, le mi et le si se trouvent abaissés d'un demi-ton. Et ce sont ces notes abaissées, les "blue notes" qui confèrent à la musique noire son caractère de poignante tristesse.
Lucien Malson
L'homme est grand, mais nous ne sommes jamais à la hauteur de nous-même. Cette impossibilité est inhérente à notre nature.
Philippe Claudel
Omar n'était pas préparé à passer sa vie à griffer et à mordre. Il aimait sourire.
Rachid Mimouni
Ne laissons pas les mots penser à notre place.
René Zazzo
La question est dans ceux qui souffrent, dans ceux qui ont froid et qui ont faim. La question est là.
Victor Hugo
Fermez les ruisseaux, esclaves ; les prés ont assez bu.
Virgile