Prudence est mère de sûreté.
Proverbe Français
Il n'est pas toujours nécessaire de penser pour être libre penseur.
André Frossard
La solitude, on croit en jouir pleinement. Et puis à la longue on déchante, ça suffit, on se rend compte qu'à nouveau on a envie d'affection, de partage.
Annie Saumont
La beauté des choses est engendrée par l'esprit du talent.
Anonyme
Qu'est-ce que tu fais ? J'attends l'avenir.
Clarice Lispector
Prendre des notes en réunion n'est jamais inutile pour l'amateur de formules creuses et pipeautées.
Corinne Maier
Seul est digne de son pouvoir celui qui le justifie jour après jour.
Dag Hammarskjöld
- Et (comment se portent) vos enfants ? - A merveille ! - Et celui qui a de si beaux yeux, un si bel embonpoint, une si belle peau ? - Beaucoup mieux que les autres ; il est mort.
Denis Diderot
Oui, le peuple français est le peuple le plus intelligent de la terre. Voilà pourquoi, sans doute, il ne réfléchit pas.
Edgar Faure
La vie m'a donné la chance de pas avoir de revanche à prendre.
Françoise de Panafieu
J'ai vu souvent des personnes, entrant dans un petit restaurant, aller s'attabler à côté de l'unique dîneur, de toute évidence parce qu'elles avaient flairé que ça le gênerait.
Henry de Montherlant
Les honneurs, je les méprise, certes, mais, comme disait à peu près Mauriac, mon drame, c'est que je ne déteste pas forcément ce que je méprise.
Jean d'Ormesson
L'Europe est un berceau vide où il n'y a pas d'enfant.
Marie-France Garaud
Hiroshima, mon amour... Quel étrange cri, disait Marguerite Yourcenar, à propos de ce titre de Marguerite Duras. Oui, Marguerite Duras, vous savez, l'apologiste sénile des infanticides ruraux... Marguerite Duras, qui n'a pas écrit que des conneries. Elle en a aussi filmé. Mais c'est vrai, quel étrange cri : Hiroshima, mon amour. Et pourquoi pas Auschwitz, mon loulou ?
Pierre Desproges
Funérailles du loup, noces pour les brebis.
Proverbe Italien
Il est magnifique d'être vêtu comme le lis ; il est encore plus glorieux d'être le souverain debout ; mais la gloire suprême est de n'être rien, en adorant.
Søren Kierkegaard