Citation de Proverbe Français

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Il faut laisser courir le vent par-dessus les tuiles.... - Proverbe Français

Il faut laisser courir le vent par-dessus les tuiles.

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Je suis comme cette folle de Sainte Agathe, qui sortait à chaque minute sur le pas de la porte et regardait, la main sur les yeux, du côté de la gare, pour voir si son fils qui était mort ne venait pas.

Alain Fournier

Pourquoi les chiens continuent-ils à renverser les poubelles, malgré l'arrêté qui le leur interdit ?

Anonyme

Celui qui ne quitte jamais son pays est toujours plein de préjugés.

Carlo Goldoni

Les lèvres sont fines, Comme l'est une lame.

Charles de Leusse

La véritable pudeur est très importante elle perpétue l'amour : ceux qui n'en ont pas, sont incapables d'aimer. Ils ne sont pas même dignes de jouir : ils peuvent multiplier, mais ils sont étrangers à l'amour humain.

Étienne Pivert de Senancour

Un écrivain devrait écrire avec ses yeux et un peintre peindre avec ses oreilles.

Gertrude Stein

Les découvertes mathématiques, petites ou grandes, ne naissent jamais d'une génération spontanée.

Henri Poincaré

L'oppresseur étend ses mesures aussi loin que va la crainte de l'opprimé.

Honoré de Balzac

Nous aimerions nous retirer du monde sans qu'il se retire de nous.

Jacques Deval

Le ridicule est l'arme favorite du vice. C'est par elle qu'en attaquant dans le fond des coeurs le respect qu'on doit à la vertu, il éteint enfin l'amour qu'on lui porte.

Jean-Jacques Rousseau

L'ambition est impitoyable : tout mérite qui ne la sert pas est méprisable à ses yeux.

Joseph Joubert

Mon travail consiste à interpréter. Je suis interprète. Je peux ajouter des éléments et apporter des qualités uniques au rôle auquel l'auteur n'a peut-être pas pensé, mais quelqu'un d'autre a créé l'idée fondamentale.

Kevin Spacey

La plupart des gens ne meurent qu'au dernier moment ; d'autres commencent et s'y prennent vingt ans à l'avance et parfois davantage. Ce sont les malheureux de la terre.

Louis-Ferdinand Céline

L'évolution de la vie à la surface de la planète est conforme au modèle du buisson touffu doté d'innombrables branches et continuellement élagué par le sinistre sécateur de l'extinction. Elle ne peut du tout être représentée par l'échelle d'une inévitable progrès.

Stephen Jay Gould

Rien ne me comble jamais vraiment, parce que j'ai manqué de tout et que ça reste en moi.

Sylvie Ohayon