Suzerain de paille, emporte vassal de fer.
Proverbe Français
Combien avaient raison les Anciens qui n'avaient qu'un même dieu pour les marchands et les voleurs.
Alexandre Dumas
Est-ce qu'on se détache aisément d'un être qui semble ne voir que vous ?
Alice Ferney
Les humains sont le résultat d'un chemin évolutif d'une exquise complexité, plein de faux départs, d'impasses et d'accidents statistiques.
Carl Sagan
Quand tout est nettoyé, On voit donc son reflet.
Charles de Leusse
Notre socle fondamental, c'est la langue commune. Et à l'intérieur de cet espace, il y a ceux qui inventent d'autres langues, qui torpillent les mots. Ce sont eux, les génies. Sans les écrivains, la langue commune serait insipide et ennuyeuse.
Erik Orsenna
L'hiver on frira les atriaux dans leur coiffe tranparente qui saute à la chaleur du fourneau.
Jacques Chessex
Bref, objectivement, c'était encore un homme tout à fait désirable. Il émanait de lui un grand charme.
Jean Dutourd
J'ai voulu reprendre le boulot aux docks, mais c'était complet. J'avais la poisse. Et moi pour le boulot, tu sais, j'ai pas la bosse et comme les petits pois j'ai la cosse.
Jean Genet
Savoir tirer du bonheur de ses malheurs est en quelque sorte l'extrême limite de la résignation.
Louis-Philippe Robidoux
Ne pas être aimé est un malheur, mais c'est une insulte de ne plus être aimé.
Montesquieu
Les hommes ne peuvent être réellement libres que dans leurs rêves.
Peter Weir
Les jeunes, c'est tous des bons-à-rien. Et ça devient pire avec l'âge.
Philippe Geluck
Peut-être avait-elle senti les petits coups de fouet sur les fesses que lui avaient tendrement donnés les regards de cet homme, elle l'avait cherché là où il était, et, l'ayant trouvé tout de suite, elle s'était risquée à le regarder fixement.
Ramón Gómez de la Serna
La vérité ajustée aux erreurs, voilà le péril.
Victor Hugo
Hélas, mon récit dégénère en un journal. Pourtant, il n'y a rien à faire ; j'ai pris l'habitude d'écrire, au point que je suis maintenant incapable d'y renoncer. Un journal, je l'admets, est la forme la plus basse de la littérature.
Vladimir Nabokov