Bon cheval n'a pas besoin d'éperons.
Proverbe Turc
Chacun de nous assume un drame à sa taille, et reçoit son contngent de tragique.
André Gide
Il y a tout juste quelques instants, tu avais le coeur gros. Tu étais prêt à parler à n'importe qui de n'importe quoi. Voilà enfin quelqu'un à qui tu peux livrer ton coeur, quelqu'un dont le regard est déjà un réconfort. Dis quelque chose !
Atiq Rahimi
L'homme vulgaire est celui qui n'a que des sentiments d'égoïsme sans disposition bienveillante pour tous les hommes en général.
Confucius
Même sa voix me semblait plus grave, bien qu'elle soit toujours légère, aérienne, donnant l'impression qu'elle allait s'envoler avec la brise sans laisser le temps aux mots de se poser.
Dennis Lehane
Il embrassa la dernière pensée de celle qu'il aimait et s'éteignit.
Elias Canetti
Ci-gît, ma femme, grâce à Dieu ! - Cette furie perpétuelle - Empoisonna ma vie. - Passant, écoute mon avis : - Avant qu'elle ne te querelle, - Quitte prudemment ces lieux.
Épitaphe Anonymes
J'aime le public en direct, avec des personnes réelles - la réalité virtuelle ne peut la remplacer.
Hillary Clinton
Il ne se rencontre pas plus dans la vie de l'homme deux moments de plaisir semblables, qu'il n'y a deux feuilles exactement pareilles sur un même arbre.
Honoré de Balzac
Je me rappelai le pis-aller d'une grande princesse à qui l'on disait que les paysans n'avaient pas de pain, et qui répondit : Qu'ils mangent de la brioche. J'achetai de la brioche.
Jean-Jacques Rousseau
C'est un iceberg, celui-là, sept fois plus "con" que ce qu'on voit.
Jean-Marie Gourio
Un classique est un écrivain qui veille sur la tradition.
Jules Renard
Le temps presse, il est temps de comprendre qu'il n'est de fête aucune qui ne soit la fête de tous.
Père Joseph Wresinski
Dès que tu es rentré, j'ai deviné au frémissement de tes esgourdes que tu préparais une saloperie.
Raymond Queneau
Que sait-on de ce qui a lieu dans la nuit du réel ? L'imaginaire est l'amant nocturne de la réalité.
Sylvie Germain
Tes yeux m'inspirent l'allégresse, Ton coeur fait mon destin : Tout m'ennuyait, tout m'intéresse.
Voltaire