Citation de Réal Fortin

Les gens qui s'assoient sur les habitudes et leur confort deviennent artificiels, vaniteux et prétentieux. Ils ne sont, en réalité, que... - Réal Fortin

Les gens qui s'assoient sur les habitudes et leur confort deviennent artificiels, vaniteux et prétentieux. Ils ne sont, en réalité, que les fantômes de leur propre existence.

Réal Fortin

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Personne n'est jamais trop bien pour personne.

Anna Gavalda

Pourquoi se tuer au travail quand on peut mourir de plaisir ?

Anonyme

Chiotte les mecs merde !

Dieudonné

L'homme est trop petit, trop misérablement infime pour chercher à comprendre les voies mystérieuses de Dieu.

Elie Wiesel

L'art perfectionne, je le veux bien, mais il perfectionne à sa manière, en contentant l'esprit, et non en prêchant, en s'adressant à la raison.

Emile Zola

Faut-il toujours dire la vérité ? - Dis-moi, serait-il utile que le soleil brillat toujours ?

Félix Bogaerts

Le bruit est pour le fat, la plainte pour le sot, - L'honnête homme trompé s'éloigne et ne dit mot.

François de La Noue

Il estoit dissolu en amours de folles femmes, et desordonné en banquets.

Jacques Amyot

Vous aimez quelqu'un ? Si vous aimez quelqu'un, et que cette personne exprime à l'évidence son désir de rompre, et que vous sachiez parfaitement que tout est fini - il faut laisser cette personne partir. Se faire cette fleur. La noblesse.

Katharine Hepburn

Inutile de tirer votre épée pour couper de l'eau ; l'eau continuera à couler.

Li Po

La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive.

Napoleon Hill

La moralité des arts consiste dans l'usage parfait d'un moyen imparfait.

Oscar Wilde

A trop parler, on en oublie de manger.

Proverbe Américain

Je quitte en pleurant les rivages de ma patrie, les ports et les plaines où fut Troie.

Virgile

Il n'y a pas d'injustice ! L'injustice, c'est de croire que les choses pouvaient se passer autrement (...) C'est toi qui décides le sens que tu donnes au voyage. Alors si tu préfères croire qu'on t'a refilé de mauvaises cartes, libre à toi.

Yann Apperry