Citation de René Descartes

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Le remords de conscience est une tristesse causée par le doute que nous avons sur la bonté de notre action.... - René Descartes

Le remords de conscience est une tristesse causée par le doute que nous avons sur la bonté de notre action.

René Descartes

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On a déclaré qu'il fallait d'abord la justice et que, pour la liberté, on verrait après ; comme si des esclaves pouvaient jamais espérer obtenir la justice.

Albert Camus

Le terrorisme international lance un défi, et pas seulement à la Russie.

Boris Eltsine

Elle rougit si on lui parle de chaise ; pour ce qu'elle y pose.

Claude Daubercies

Je ne veux voir que la Victoire. - Ne me demandez pas : "Après" ? - Après, je veux la nuit noire - Et le sommeil sous les cyprès.

Edmond Rostand

Ses doigts se crispaient, avec des égratignements de griffes.

Emile Zola

Combien généreuse est la vie pour l'homme, mais combien l'homme se tient éloigné de la vie !

Gibran Khalil Gibran

La poésie n'est qu'une manière de percevoir les objets extérieurs, un organe spécial qui tamise la matière et qui, sans la changer, la transfigure.

Gustave Flaubert

Une femme reflète plus entièrement son époque qu'un homme.

Jacques Laurent

Pour être satisfait, il faut avoir désiré ; on peut être content sans avoir désiré rien.

Jean Le Rond d'Alembert

C'est bien joli d'avoir 20 ans et la cuisse longue, mais ça ne suffit pas pour vous donner du talent !

Jean Poiret

L'excès d'un très grand bien devient un mal très grand.

Jean-Pierre Claris de Florian

Peut-être le savoir est-il trop grand, mais peut-être aussi l'homme devient-il trop petit. Peut-être qu'à force de s'agenouiller devant les atomes il finit par avoir une âme de la taille de ce qu'il adore.

John Steinbeck

Le langage le plus beau, le plus vivant, le plus savoureux, le plus libre et, en même temps, le plus juste dans un absolu mental est l'argot français.

Louis Scutenaire

On pardonne les crimes individuels, mais non la participation à un crime collectif.

Marcel Proust

Je ne nie pas la divinité de Boccace, et je reconnais que les compositions de Pétrarque sont merveilleuses ; mais, bien que j'admire leur génie, je ne cherche pas à me servir d'eux comme d'un masque. Je crois au jugement de ces deux esprits éternels ; mais, tout en croyant en eux, j'ajoute aussi quelque peu de foi au mien.

Pierre l'Arétin