Citation de Sabattis

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Combien de fois, en voulant paraître sage aux yeux des autres, l'on ne fait que montrer sa folie et son ignorance.... - Sabattis

Combien de fois, en voulant paraître sage aux yeux des autres, l'on ne fait que montrer sa folie et son ignorance.

Sabattis

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L'Espagne est le pays où Jésus est mort. Et où nous reste sa mère. Tout au long du chemin, Marie veille, et à la longueur des chapelets, c'est elle qu'on prie et qu'on implore, à qui l'on chante, à qui l'on parle. Jésus est mort, et il nous a confié à sa mère, comme il lui avait confié, au pied de la croix, le jeune Jean.

Alix de Saint-André

Ce n'est pas du tout qu'elle soit incapable de comprendre ; mais elle veut trop vite avoir compris.

André Gide

Pour tous ceux qui vivent il y a de l'espérance ; et même un chien vivant vaut mieux qu'un lion mort.

Bible

Pierre m'expliqua qu'il fallait, en politique comme en amour, savoir s'attacher sans se lier, pouvoir servir sans s'asservir, se battre ensemble.

Claude Roy

La femme, lorsqu'elle enfante, passe par la souffrance ; pourtant elle ne se souvient plus de ses douleurs dès qu'un homme nouveau est enfin né dans ce monde.

Éric-Emmanuel Schmitt

L'homme naquit pour travailler, comme l'oiseau pour voler.

François Rabelais

Ce qui m'importe, c'est l'éternelle vivacité et non pas la vie éternelle.

Friedrich Nietzsche

Rien n'est plus étonnant dans l'éducation que toute l'ignorance accumulée sous forme de faits inutiles.

Henry Adams

Le drame de la mort, je me demande si c'est la mort, ou si ce sont les héritiers.

Henry de Montherlant

Je suis navré que vous soyez dupe à ce point, et que vous le soyez d'un homme si vil.

Jean Le Rond d'Alembert

C'est bien singulier comme nous restons enfants en certaines choses. C'est fort heureux quant aux sentiments.

Laure Conan

Il faut battre sa mère pendant qu'elle est jeune.

Paul Éluard

On ne peut emporter ses biens dans la tombe.

Proverbe Bulgare

La forêt n'est brûlée que par ses propres arbres.

Proverbe Tunisiens

Les rois pour lesquels vous vous égorgez se serrent la main, au plus fort du carnage, et paisiblement, se partagent vos dépouilles et vos terres.

Ugo Foscolo