Citation de Salvador Dalí

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La tenue est essentielle pour vaincre. Très rares sont les occasions où, dans ma vie, je me suis avili en civil. Je suis toujours habi... - Salvador Dalí

La tenue est essentielle pour vaincre. Très rares sont les occasions où, dans ma vie, je me suis avili en civil. Je suis toujours habillé en uniforme de Dali.

Salvador Dalí

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Je suis ce même David Crockett, fraîchement sorti des bois, mi-cheval, mi-alligator, un peu touché par la tortue serpentine ; peut patauger dans le Mississippi, sauter l'Ohio, monter sur une traînée de foudre et glisser sans égratignure sur un criquet mellifère.

Davy Crockett

Tout roman est une devinette du monde.

Gabriel García Márquez

Confiance : sentiment par lequel les salauds nous trompent et grâce auquel nous trompons les gogos.

Georges Elgozy

Tout ce qui n'a pas d'utilité dans le tableau est par là même nuisible.

Henri Matisse

Les constituants universels que sont les nucléotides d'une part, les acides aminés de l'autre, sont l'équivalent logique d'un alphabet dans lequel serait écrite la structure, donc les fonctions associatives spécifiques des protéines.

Jacques Monod

Ne pas laisser à la rancune le soin de découvrir le vrai sur ce qu'on aime.

Jean Rostand

L'homme vraiment libre ne veut que ce qu'il peut, et fait ce qui lui plaît.

Jean-Jacques Rousseau

O le grand homme ! Il n'y a ancien à comparer à lui. Il a si bien entendu l'Ecriture. Le premier argent mignon que j'aurai, j'achèterai toutes ses oeuvres.

Joseph Juste Scaliger

Il est très malaisé de parler beaucoup sans dire quelque chose de trop.

Louis XIV

La vérité a besoin de mensonge - car comment la définir sans contraste ?

Paul Valéry

Le fruit le plus mûr ne vous tombera pas dans la bouche.

Proverbe Français

Dérobe, prend, possède, amasse, tout faut laisser lorsque l'on trépasse.

Proverbe Français

Il y a des gens qui ont une âme de fonctionnaire, tant pis pour eux.

Roland Topor

Le Qaddish est une géographie du deuil, une traduction de la peine qui dépasse toute les peines. Cette prière comble le gouffre entre ce qui était et ce qui n'est plus, le proche devenu lointain. C'est ce fossé insupportable que le Kaddish répare en sept mots, vingt-huit lettres, ni plus ni moins.

Sébastien Spitzer

Pourquoi s'en faire avec la mort quand la vie nous donne déjà bien assez de soucis comme ça ?

Yvon Deveault