La fraternité et l'oubli, comme l'amitié et la politique, sont unis par des liens qui nous échappent. Mais on interroge toujours la sibylle pour savoir ce qu'elle ne peut nous dire, et c'est parce que ces liens nous échappent qu'on ne peut cesser d'y revenir – quitte à ne jamais cesser de ne pouvoir pas les expliquer.