Citation de Sénèque

← Précédent Suivant →
Toute chose est à autrui, le temps seul est à nous ; c'est l'unique bien, fugace et glissant, dont la nature nous a confié la possessio... - Sénèque

Toute chose est à autrui, le temps seul est à nous ; c'est l'unique bien, fugace et glissant, dont la nature nous a confié la possession.

Sénèque

Toutes les citations de Sénèque →

Explorer les Citations

Fondez une société des honnêtes gens, tous les voleurs en seront.

Alain

Le chanceux perd sa femme ; le malchanceux perd son cheval.

Anonyme

Le déchet le plus facile à éliminer est celui que l'on n'a pas produit.

Anonyme

Un bon acteur sait mettre de l'émotion dans l'action et de l'action dans l'émotion.

Charlie Chaplin

Une volonté libre et une volonté soumise à des lois morales sont une seule et même chose.

Emmanuel Kant

Notre langue manque d'un grand nombre de mots et de phrases : il me semble même qu'on l'a gênée et appauvrie, depuis environ cent ans, en voulant la purifier.

Fénelon

Il faut vivre pour rêver et non pas rêver pour vivre.

Henri Jeanson

Il s'alla camper près du bourg qui s'appelle Cannes.

Jacques Amyot

Le véritable amour n'enchaîne pas, il rend libre.

Jean Gastaldi

Si le commerce était mieux fait, c'est le client qui devrait faire son prix.

Marcel Aymé

Et le duc se présentait naïvement pour l'aider, sans en avoir l'air, à réussir son tour, comme dans un wagon, le compère inavoué d'un joueur de bonneteau.

Marcel Proust

L'optimiste se dit qu'un travailleur a droit à 5 semaines de congé par an. Le pessimiste, lui, se dit que des tas de braves gens sont obligés d'interrompre chaque année leurs vacances pendant 47 semaines pour aller bosser.

Philippe Geluck

Notre héritage n'est précédé d'aucun testament.

René Char

Tu ne sais pas ce que c'est, aimer quelqu'un vraiment. On ne pardonne rien et pourtant on pardonne tout.

Romain Gary

J'ai demandé la vie à l'amour qui la donne, Mais vainement ; je n'ai jamais aimé personne Ayant au monde un nom. J'ai brûlé plus d'un coeur dont j'ai foulé la cendre, Mais je restai toujours, comme la salamandre, Froid au milieu du feu.

Théophile Gautier