La queue c'est féminin. Le con masculin. Question de chance.
Serge Gainsbourg
Zézé, l'autre boy et le marmiton ... s'entassent fort inconfortablement au-dessus de l'accumulation des bagages, dans le camion.
André Gide
On tue l'ignorance comme l'appétit : on mange, on étudie, et c'est ainsi qu'on avance vers cet état qui rend la mort si nécessaire.
Antoine de Rivarol
On ne peut vraiment aimer que quand on n'a plus besoin d'être aimé.
Arnaud Desjardins
Le golf exige plus de précision que les courses, les cartes, la Bourse ou le mariage.
Arnold Haultain
Mais tu sais, j'suis irrité alors parfois je pleure de trop, en vérité mes larmes ne servent qu'à irriguer ma fleur de peau.
Dinos
Là encore, tu te faisais une trop haute idée des hommes, car ce sont des esclaves, bien qu'ils aient été créés rebelles.
Fiodor Dostoïevski
La grâce de la nouveauté et la longue habitude, quelque opposées qu'elles soient, nous empêchent également de sentir les défauts de nos amis.
François de La Rochefoucauld
Nous créons nos artistes et nous en faisons des monstres, particulièrement en France, qu'il s'agisse de Rimbaud, de Verlaine, de Balzac. Nous octroyons aux artistes le droit de dire et de faire tout ce qu'ils veulent.
Hanif Kureishi
L'homme n'est la matière première que de sa propre vie.
Jean Giono
L'organisation socialiste chez nous est non un moyen, mais, comme parlent les philosophes : une fin en soi.
Jules Romains
La vie est un miroir qui reflète le visage dont on la regarde.
Louis Dumur
Sur tout parfum j'aime la Rose.
Pierre de Ronsard
L'avis d'une femme est de peu de prix, mais qui ne le prend pas est un sot.
Proverbe Français
La provocation prête un pouvoir de commandement. Elle ordonne le duel, la répulsion, la révolte, mais aussi les alliances et les amitiés. Parfois elle met au garde-à-vous, à part quelques mercenaires en rupture de bang.
Nous avons connu les camps, nous avons couvert la terre de nos cadavres pendant la guerre, nous avons ramassé du combustible atomique à mains nues à Tchernobyl. Et maintenant nous nous retrouvons sur les décombres du socialisme. Comme après la guerre...
Svetlana Aleksievitch