Citation de Simone Weil

← Précédent Suivant →
Le froid de l'acier est pareillement mortel à la poignée et à la pointe. Tout ce qui est exposé au contact de la force est susceptible d... - Simone Weil

Le froid de l'acier est pareillement mortel à la poignée et à la pointe. Tout ce qui est exposé au contact de la force est susceptible de dégradation.

Simone Weil

Toutes les citations de Simone Weil →

Explorer les Citations

Il faut voir de quel air il dit cela : gagner honorablement sa vie !

Alphonse Daudet

Le bonheur est la fin que doivent se proposer toutes les sociétés.

Anonyme

J'ai toujours pris l'information pour un exercice sérieux, grave même.

Christine Ockrent

En élection, il faut à la fois espoir et audace.

François Hollande

La vie n'est qu'une succession de problèmes.

Frank Ward O'Malley

La mort de l'eau est plus songeuse que la mort de la terre : la peine de l'eau est infinie.

Gaston Bachelard

Pourquoi perdre son temps à vouloir contredire son épouse ? Il est beaucoup plus simple d'attendre qu'elle ait changé d'avis.

Jean Anouilh

On ne peut aimer parfaitement que ce qu'on a perdu pour toujours.

Jean Rostand

Cela a jeté un froid, je ne vous dis que ça.

Marcel Proust

... il m'advient rarement de quitter une maîtresse sans ce petit soupir de soulagement de l'écolier qui sort de l'école, et je crois bien que ce sera un soupir du même genre que je pousserai à l'heure de ma mort.

Marguerite Yourcenar

Professeur : profiteur de fessées.

Michel Leiris

La postérité n'est pas l'ensemble des générations futures. C'est un petit groupe d'hommes de goût, bien élevés, érudits, dans chaque génération.

Nicolás Gómez Dávila

Moi, je veux en amour souffrir et savoir que l'on souffre, je veux les voir couler, mes larmes et les tiennes.

Properce

Quand la tète se perd, les pieds ne portent plus.

Proverbe Turc

Avant l'imprimerie, la Réforme n'eût été qu'un schisme, l'imprimerie l'a faite révolution. Otez la presse, l'hérésie est énervée. Que ce soit fatal ou providentiel, Gutemberg est le précurseur de Luther.

Victor Hugo