Dans les chemins, il y a toujours une montée et une descente, il suffit à l'homme de décider.
Sivi le poète
Je me demande pourquoi on n'aime et ne désire pas davantage la Mort.
Alain Fournier
Ne combat jamais un homme qui n'a rien à perdre.
Baltasar Gracián
Les expressions de Shakespeare nous apparaissent comme celles-là mêmes dont se serviraient les plus grands objets naturels : une montagne, un glacier, s'ils condescendaient à s'exprimer.
Charles Du Bos
L'intellectualité supérieure et indépendante, la volonté de solitude, la grande raison apparaissent comme des dangers.
Friedrich Nietzsche
Ce qui compte n'est pas la barrière, mais l'ordinateur qui repère la position de chacun, licite ou illicite, et opère une modulation universelle.
Gilles Deleuze
Ne demandez pas des oeillets au rosier ni à la pêche le goût de la fraise. Acceptez la lune avec son hémisphère caché. Regardez le mauvais côté de la pomme à acquérir, et mordez le bon de la pomme acquise. Qui ne le sait ? mais qui le fait ?
Henri-Frédéric Amiel
Il n'y a que la médiocrité qui ait le privilège de la durée.
J.-H. Rosny aîné
Retirez-vous en vous, mais préparez-vous premièrement de vous y recevoir ; ce serait folie de vous fier à vous-même, si vous ne vous savez gouverner. Il y a moyen de faillir en la solitude comme en la compagnie.
Michel de Montaigne
La discrétion a ses mérites, mais à trop forte dose elle peut être fatale.
Paul Auster
Celui qui ne sait pas hurler ne trouvera pas sa meute.
Proverbe Allemand
L'oiseau ne fait jamais palabre avec l'arbre, car il finit toujours par s'y poser.
Proverbe Ivoirien
Confiez-vous toujours davantage à tout ce qui est difficile et à votre solitude. Pour le reste, laissez faire la vie. Croyez-moi, la vie a toujours raison.
Rainer Maria Rilke
Un être humain vaut beaucoup plus que ses diplômes et je veux rester toute ma vie une élève.
Rigoberta Menchu Tum
Un rebouteux vient d'être condamné pour exercice illégal de la guérison.
Robert Rocca
Je me sentais très calme, très vide, comme doit se sentir l'oeil d'une tornade qui se déplace tristement au milieu du chaos généralisé.
Sylvia Plath