Citation de Smaïn

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Je parle avec les mains. Les mains, c'est le prolongement de la pensée et moi j'ai beaucoup de pensées, c'est tout...... - Smaïn

Je parle avec les mains. Les mains, c'est le prolongement de la pensée et moi j'ai beaucoup de pensées, c'est tout...

Smaïn

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Nous croyons tous à l'impossible, sans quoi nous n'arriverions jamais à l'accomplir.

Andrée Maillet

Un pays qui ne respecte pas les droits de ses propres citoyens ne respectera pas les droits de ses voisins.

Andreï Sakharov

Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau : c'est moi qui vous soulagerai.

Bible

Tout le bonheur des hommes est dans l'imagination.

Donatien Alphonse François de Sade

Aimer avant de réfléchir, sans logique, comme tu dis, et, quant au sens, ne s'en occuper qu'ensuite. Il y a longtemps que je me suis dit cela. Mais tu as aimé la vie : il faut maintenant tâcher de la comprendre, c'est le salut.

Fiodor Dostoïevski

Major : Ne se trouve plus que dans les tables d'hôte.

Gustave Flaubert

Un petit peu trop fait plus de mal qu'un petit peu moins.

Jean Paul

Un peintre apprenti demandait à son maître "Quand dois-je considérer que mon tableau est fini ?" Et le maître répondit : "Quand tu pourras le regarder avec surprise, en te disant : C'est moi qui fait ça".

Jean-Paul Sartre

Alors, si, dans ces heureux songes, Je suis pour toi mourant d'amour, Tes rêves n'ont plus de mensonges : A toi ma nuit, a toi mon jour !

Joseph Méry

Ce moment de théâtre, sang et or, surgissant de nulle part, se planta en nous trois comme un éclat d'obus dans la tête d'un poilu ! Mais nous n'en avons rien su à l'époque parce que nous ne nous parlions pas.

Marie-Aude Murail

Que les hommes s'occupent peu d'eux-mêmes ! Et comme ils sont inventifs pour perdre le temps si bref qui leur est accordé !

Miguel de Unamuno

Si l'argent n'a pas d'odeur, il a un parfum enivrant.

Nadine de Rothschild

L'amour peut lire ce qui est écrit sur la plus lointaine étoile, mais la haine t'aveuglait à tel point point que tu ne pouvais voir au delà de l'étroit jardin emmuré de tes désirs vulgaires, déjà flétri par la soif du plaisir.

Oscar Wilde

Coluche était double, totalement schizophrène, bipolaire. "Je cohabite avec une charogne", disait, je crois, sainte Thérèse d'Avila. Coluche cohabitait avec une charogne. Il était le beauf, ce n'était pas un sale con, mais un beauf – à l'époque on disait "poujadiste" –, et aussi un libertaire. Un révolutionnaire. Vulgaire et tendre, autoritaire et généreux.

Pierre Bénichou

Bien fini et plus d'espoir, rien. Le père Taupe était réellement pauvre, misérable. Il n'y avait pas plus de trésor que de beurre au cul.

Raymond Queneau