Prends garde aux éphémères, leur temps est compté.
Stanislaw Jerzy Lec
Qui dit prétention, dit disproportion.
Anne Barratin
Masochiste : homme qui aimant les douches froides, les prend chaudes.
Anonyme
Je n'ai jamais voulu avoir d'enfants, de peur de faire un petit soldat, un militaire, un tueur. On n'est jamais sûrs...
Arletty
La faiblesse de la raison de l'homme paraît bien davantage en ceux qui ne la connaissent pas, qu'en ceux qui la connaissent.
Blaise Pascal
La marche n'est pas une simple thérapeutique mais une activité poétique qui peut guérir le monde de ses mots.
Bruce Chatwin
Pour rentrer chez vous, une seule adresse : la vôtre !
Francis Blanche
Oui, ma Lou, tu es ma Lou à moi, ma chose vivante que j'aime infiniment, mon bijou précieux, ma petite perle ronde comme ton derrière, comme tes deux petits seins infiniment jolis et si joliment fleuris de deux roses sans épines.
Guillaume Apollinaire
Pour se faire un ami du temps, il convient de la traiter comme il se doit avec un ami : en lui consacrant du temps.
Jean-Louis Servan-Schreiber
Messieurs les Anglais, tirez les premiers !..
Joseph Charles Alexandre d'Anterroches
L'homme est comme le poivre, tu ne le connais pas avant de l'avoir mâché.
Proverbe Africain
Si février est sec et chaud - Garde du foin pour tes chevaux.
Proverbe Français
Le vent le flagelle, siffle à ses oreilles avec la stridence du couteau sur l'aiguisoir.
Roger Martin du Gard
Des mitrailleuses fauchaient le village. Des hommes s'effondraient pliés en deux, comme emportés par le poids de leur tête.
Roland Dorgelès
C'était par les sens qu'il aspirait la beauté infinie, la fraicheur et la pureté de cette nuit de printemps, l'air embaumé portant les parfums des fleurs aux goûts suaves, le ciel luisant d'une clarté évanescente, les concerts de sifflement des grives au loin dans le bois de Gauta, le murmure timide du ruisseau au pied du coteau où il se reposait...
Sigrid Undset
Parfois notre grand-mère, - La veuve aux chers soucis, - Qui fut si belle et qui mourut si jeune, - Se montrait sur le seuil, - Le front pâli comme par un long jeûne, - Triste et douce, en grand deuil.
Théodore de Banville