Citation de Stefan Zweig

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On ne nous faisait rien - on nous laissait seulement en face du néant, car il est notoire qu'aucune chose au monde n'oppresse davantage... - Stefan Zweig

On ne nous faisait rien - on nous laissait seulement en face du néant, car il est notoire qu'aucune chose au monde n'oppresse davantage l'âme humaine.

Stefan Zweig

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Au théâtre, ce qui sort de la convention paraît faux. Le théâtre vit de conventions. On en veut à qui nous en tire ; à qui tâche de nous en tirer.

André Gide

Il y a tant d'aurores qui n'ont pas encore lui.

Anonyme

Wagner avait été audacieux : le programme de son concert ne comprenait ni solos d'instruments, ni chansons, ni aucune des exhibitions si chères à un public amoureux des virtuoses et de leurs tours de force.

Charles Baudelaire

Il y a toujours quelque chose à voir, partout. Une feuille qui descend, une fourmi qui grimpe, un nuage qui se déchire.

Christian Bobin

Le mal des poumons n'est qu'un débordement du mal moral.

Franz Kafka

A notre époque de communications à la vitesse de l'éclair, de télémachins et autres trucs finissant en "el", une lettre, c'est devenu rare.

Jean Dion

Un gouvernement, c'est quelque chose dont il faut se protéger, et qu'il est inutile d'affronter de face.

Jean-François Somain

Dans le domaine du moindre risque, je ne vois que le bilboquet ou le cerceau.

José Giovanni

Quand on a trop parlé on a l'haleine qui sent la transpiration.

Philippe Geluck

Mais pour nous, les heures, les jours et les mois n'étaient qu'un flux opaque qui transformait, toujours trop lentement, le futur en passé.

Primo Levi

A qui charrie loin, il faut des roues de rechange.

Proverbe Allemand

Une chemise de toile cousue par ma mère est chaude. Une chemise de laine cousue par une étrangère est froide.

Proverbe Finnois

Il peut être parfois plus honnête de mentir que de dire la vérité.

Toivo Rikhart Pekkanen

Cette myriade de sonnettes avec leurs petites langues de cuivre lui semblaient autant de gueules d'aspics ouvertes, prêtes à mordre ou à siffler.

Victor Hugo

En se dépêchant trop, on ne fait rien qui vaille.

Voltaire