Je venais de le comprendre : le jardin de l'homme est peuplé de présences. Elles ne nous veulent pas de mal, mais elles nous tiennent à l'oeil. Rien de ce que nous accomplissons n'échappera à leur vigilance. Les bêtes sont des gardiens de square, l'homme y joue au cerceau en se croyant le roi. C'était une découverte. Elle n'était pas désagréable. Je savais désormais que je n'étais pas seul.