Un homme contrarié est quelqu'un qui souffre.
Tahar Ben Jelloun
L'homme pense son propre chant, et ne pense rien d'autre.
Alain
Les rois font des hommes comme des pièces de monnaie ; ils les font valoir ce qu'ils veulent, et l'on est forcé de les recevoir selon leur cours, et non pas selon leur véritable prix.
François de La Rochefoucauld
Celui-là qui veut péter plus haut qu'il n'a le cul doit d'abord se faire un trou dans le dos.
François Rabelais
Brillant n'a au fond qu'un simple désir d'aventure qui se heurte à une époque exagérément rationnelle. Peut-on penser comme Baudelaire avec les mots de Bukowski ?
Frédéric Beigbeder
Même en hiver, mon coeur sera vert.
Frédéric Chopin
L'amour, c'était agréable pour l'homme tant que les femmes ne savaient pas que c'était agréable.
Georges Wolinski
Le coeur est une bête dont il est prudent de se méfier. L'intelligence en est une autre, mais elle, du moins, ne parle pas d'amour.
Graham Greene
La principale différence entre l'homme et la femme, c'est la femme.
Grégoire Lacroix
L'éducation n'est, en somme, que l'art de révéler à l'être humain le sens intime qui doit gouverner ses actes, préparer l'emploi de ses énergies et lui communiquer le goût et la force de vivre pleinement.
Henry Bordeaux
Je me fous complètement de l'argent. Si un jour vous apprenez que je suis devenu pauvre, ne me plaignez pas.
Jacques Brel
La télé, c'est un compagnon fidèle comme un chien mais moins salissant, sauf si on l'allume souvent. C'est le feu de bois, quoi.
Jacques Dutronc
Au PSG, celui qui bouge le plus dans l'équipe, c'est Luis Fernandez. Le problème, c'est qu'il est sur le bord du terrain !
Laurent Ruquier
Ce qui est intéressant en musique, c'est la coupure, c'est-à-dire la notion d'intervalle, de subdivision, de cassure, de trajectoire (non pas la notion de trajectoire directe, mais de trajectoire mêlée à d'autres paramètres comme ceux du temps par exemple).
Pierre Boulez
La connaissance est l'unique bien dont personne ne peut te dépouiller.
Ron Rash
On ne peut pas plus prier trop qu'aimer trop.
Victor Hugo