Citation de Théodore de Banville

← Précédent Suivant →
Enfin, se son vil échafaud, - Le clown sauta si haut, si haut, - Qu'il creva le plafond de toiles - Au son du cor et du tambour... - Théodore de Banville

Enfin, se son vil échafaud, - Le clown sauta si haut, si haut, - Qu'il creva le plafond de toiles - Au son du cor et du tambour, - Et, le coeur dévoré d'amour, - Alla rouler dans les étoiles.

Théodore de Banville

Toutes les citations de Théodore de Banville →

Explorer les Citations

Lorsque vous êtes jeune, vous êtes très incertain. Et si je pouvais apprendre, si je pouvais revenir sur mon passé, je pourrais me dire, ne pense pas trop, il suffit de le faire et de le refaire.

Anthony Hopkins

Étudier sans réfléchir est vain, mais réfléchir sans apprendre est dangereux.

Confucius

La douleur vous rend plus fort. La peur vous rend plus courageux. La peine d'amour vous rend plus sage.

Drake

Celui qui est amoureux de soi a au moins l'avantage de ne point avoir trop de rivaux.

Georg Christoph Lichtenberg

Lorsque quelqu'un n'a pas de points de repère extérieurs à quoi se référer, le tracé même de sa propre vie perd de sa netteté.

George Orwell

L'homme est capable du meilleur comme du pire, mais c'est vraiment dans le pire qu'il est le meilleur.

Grégoire Lacroix

Chez les Hamadryas qui les démocrates du monde des babouins, chaque mâle possède une famille dans laquelle il maintient une discipline. Mais il n'existe une paix et une liberté relatives que dans un clan de plus de 130 individus.

Howard Bloom

Prions aux dieux qu'ilz nous pardonnent ceste offense, d'avoir seulement jetté Marius indigent et nud hors de nostre ville.

Jacques Amyot

L'homme est plus cher aux dieux qu'il ne l'est à lui-même.

Jean-Pierre Claris de Florian

Dans leur godet de verre allongé, pendu à deux branches de fer arrondies, les veilleuses s'éteignent et se raniment. Leur lumignon se lève et s'abaisse, comme un souffle, sur l'huile lumineuse et transparente.

Les frères Goncourt

Pouvez-vous voir toutes les inventions dont la machine de l'homme est composée sans admirer de quelle façon cela est agencé l'un dans l'autre ?

Molière

Débrouillez-vous. Moi je ne m'en occupe plus. Je m'en désintéresse complètement.

Nathalie Sarraute

Pamphlétaires, orateurs, violents, forcenés, qui vociférez, dites, ne sentez-vous jamais que tout homme qui crie est sur le point de faire semblant de crier ?

Paul Valéry

Les auteurs qui se font obscurs pour forcer l'estime obtiennent ce qu'ils veulent et pas autre chose.

Raymond Radiguet

Comme il doit être fatigant et attristant, cet effort continu pour se conformer aux opinions, règles et convenances du monde impossible qui les entoure.

Valery Larbaud