Citation de Théophile Gautier

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Des lilas blancs de cimetière - Près de mes tempes ont fleuri ; - J'aurai bientôt la touffe entière - Pour ombrager mon front... - Théophile Gautier

Des lilas blancs de cimetière - Près de mes tempes ont fleuri ; - J'aurai bientôt la touffe entière - Pour ombrager mon front flétri.

Théophile Gautier

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Chaque homme est sa propre île déserte.

Brigitte Aubert

Le bon sens est contraint de faire son chemin sans que personne ne s'en enthousiasme.

E. W. Howe

L'amour, c'est regarder l'autre, être attentif et généreux. L'amour c'est le partage.

Guy Carlier

Les déceptions de l'amitié se guérissent par l'indifférence ; celles de l'amour par l'oubli.

Henri de Régnier

Les Levantins en leur légende Disent qu'un certain Rat las des soins d'ici-bas, Dans un fromage de Hollande Se retira loin du tracas.

Jean de La Fontaine

Si sur le point du jour parfois il sommeillait, Le Savetier alors en chantant l'éveillait, Et le Financier se plaignait, Que les soins de la Providence N'eussent pas au marché fait vendre le dormir, Comme le manger et le boire.

Jean de La Fontaine

Oui, le passé est un autre pays, mais un pays que l'on peut visiter et dont on peut rapporter ce dont on a besoin.

Jeanette Winterson

Les guerres sont faites par des militaires dont l'ambition est de mettre en scène des souvenirs de films de guerre.

Joseph Heller

Les lycéens ont raison de manifester : les classes sont surchargées ; trente-cinq à quarante élèves par classe... et parfois même, y a un prof.

Laurent Ruquier

Polynévrite : Maladie dont souffrent les tahitiens déracinés

Marc Escayrol

Il faut l'avouer, je crois peu aux lois. Trop dures, on les enfreint, et avec raison. Trop compliquées, l'ingéniosité humaine trouve facilement à se glisse entre les mailles de cette nasse traînante et fragile.

Marguerite Yourcenar

On ne récolte que ce qu'on a semé.

Napoleon Hill

Longtemps, je me considérais comme de passage dans cet En-ville, avec dans l'idée d'entreprendre, sitôt mes poches bien pleines, un Noutéka des mornes… pauvre épopée de mon pauvre Esternome… Je me la ressassais dans ces lits misérables ou j'inspirais de la poussière… […] la misère des cœurs soucieux de s'y grandir […], pauvre épopée, levée complice d'une amertume

Patrick Chamoiseau

Perdu d'amour et de tendresse, je sens que tout moi s'élance vers toi ; je voudrais te couvrir de baisers, recevoir ton haleine, te tenir dans mes bras, sentir ton coeur battre contre mon coeur, et m'abîmer avec toi dans un océan de bonheur et de vie...

Sophie Cottin

Suis ton propre chemin, même dans le paradis des autres.

Stanislaw Jerzy Lec