En fait, c'était simple d'être aux commandes de sa vie.
Thomas Gunzig
Seuls les gens vrais ont beaucoup de valeurs, pour le reste vous perdrez votre temps.
Anonyme
Une rose n'a d'épines que pour celui qui ne sait pas s'y prendre avec elle et c'est ainsi pour les femmes, quand on veut être gentleman.
Pense à ta fin.
Le règlement est semblable aux rites d'une religion, qui semblent absurdes, mais qui façonnent les hommes.
Antoine de Saint-Exupéry
Si tu cherches l'échec, tu demandes à Kaaris.
Booba
En chacun de nous existe un autre être que nous ne connaissons pas. Il nous parle à travers le rêve et nous fait savoir qu'il nous voit bien différent de ce que nous croyons être.
Carl Gustav Jung
C'est le terreau de la vie, la banalité. Rarement, une perle, un grain de sable, une particule luisante tombe sur notre épaule. Et dans cet océan de vagues ordinaires, le pouvoir est le vice banal le plus à son aise chez l'homme.
Fred Vargas
J'ai des idées politiques bien établies, mais mes idées littéraires changent selon ma digestion.
Gabriel García Márquez
Toutes les guerres sont impies.
Jean-Paul Sartre
Chacun de nous souvent connaît bien ses défauts : En convenir, c'est autre chose ; On aime mieux souffrir de véritables maux Que d'avouer qu'ils en sont cause.
Jean-Pierre Claris de Florian
Un acteur monte une pièce, un critique descend un film. Et quand il se croisent, il n'y a jamais de renvoi d'ascenseur.
Michel Galabru
L'amour est la rencontre de deux myopes que le temps rendra presbytes.
Robert Sabatier
Qu'a-t-on fait de moi ? Cette femme qui n'aime personne, insensible aux beautés du monde, incapable même de pleurer, cette femme que je vomis.
Simone de Beauvoir
Il y a quelque chose de doux dans le mouvement des obsessions quand elles partent vers le large. Elles cessent de vous importuner nuit et jour. Ce n'est ni une capitulation ni un abandon. Elles attendent leur heure.
Véronique Ovaldé
Ca manque d'envolée, d'élan, de charme, d'éclat, de poésie, de fantaisie. Cette critique ressemble à un doigt posé sur la corde : elle tue la vibration.
Witold Gombrowicz