Citation de Thomas Mann

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La méchanceté est l'esprit de la critique, et la critique est à l'origine du progrès et des lumières de la civilisation.... - Thomas Mann

La méchanceté est l'esprit de la critique, et la critique est à l'origine du progrès et des lumières de la civilisation.

Thomas Mann

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Comme l'eau qui coule dans un fleuve va alimenter la mer, ton amour coule dans mes veines et irrigue mon coeur.

Anonyme

... Certains hommes répandent, pour ainsi dire de naissance, un fluide d'autorité dont on ne peut discerner au juste en quoi il consiste... Il en va de cette matière comme de l'amour qui ne s'explique point sans l'action d'un inexprimable charme.

Charles de Gaulle

Amour fait vivre, et - Crainte fait mourir.

Clément Marot

Voulez-vous que les hommes sensés recherchent vos discours ; évitez de discourir avec ceux qui ne le sont pas.

Félix Bogaerts

Si le dégoût du monde conférait à lui seul la sainteté, je ne vois pas comment je pourrais éviter la canonisation.

Guy Bedos

Il faudroit veoir si tu le pourrois induire à te prester un talent sans cedule ny obligation.

Jacques Amyot

Il faut donc que les femmes commettent des fautes pour que les hommes se sentent grandir un peu !

Jérôme Touzalin

Celui qui se présente en sauveur pourrait bien être crucifié.

John Collins

Je ne rêve pas d'un amour parfait mais je ne veux pas vivre au conditionnel et encore moins à l'imparfait.

Marc Levy

Il y a trois façons de voir l'amour : la bonne, la mauvaise, la mienne.

Nadine de Rothschild

La société serait une chose charmante, si l'on s'intéressait les uns aux autres.

Nicolas de Chamfort

Je suis ravi, assis entre les Dieux, - Quand le bonheur me conduit auprès d'elle.

Pierre de Ronsard

Les enfants et les galères Se conduisent par l'arrière.

Proverbe Français

Un héros ! Je ne sais pas trop ce que c'est ; mais, vois-tu, j'imagine : un héros, c'est celui qui fait ce qu'il peut. Les autres ne le font pas.

Romain Rolland

Avec cela, l'odeur de l'encens, la chute brûlante d'une goutte de cire sur une phalange et le sombre et mielleux éclat de l'icône, qui attendait un baiser.

Vladimir Nabokov