Lorsqu'il m'arrivait de penser à mon âge, c'est-à-dire de plus en plus souvent, je prenais conscience d'avoir déjà vécu la moitié de ma vie sans rien avoir accompli d'extraordinaire – je songeais que Mozart était mort à 35 ans en laissant derrière lui la bagatelle de six cent vingt-six oeuvres.