Citation de Valérie Perrin

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Pourquoi va-t-on vers des livres comme on va vers des gens ? Pourquoi sommes-nous attirés par des couvertures comme nous le somm... - Valérie Perrin

Pourquoi va-t-on vers des livres comme on va vers des gens ? Pourquoi sommes-nous attirés par des couvertures comme nous le sommes par un regard, une voix qui nous paraît familière, déjà entendue, une voix qui nous détourne de notre chemin, nous fait lever les yeux, attire notre attention et va peut-être changer le cours de notre existence ?

Valérie Perrin

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Une personne qui n'a jamais commis d'erreur n'a jamais rien essayé de nouveau.

Albert Einstein

C'est triste d'oublier un ami. Tout le monde n'a pas eu un ami.

Antoine de Saint-Exupéry

Honneur au slogan, véritable fumier qui fait pousser le désir et transforme les hommes tranquilles en clients passionnés.

Armand Salacrou

Nul ne possède d'autre droit que celui de toujours faire son devoir.

Auguste Comte

Il y a peu de temps encore, on peut s'en souvenir, régnaient sans contestation la peinture proprette, le joli, le niais, l'entortillé.

Charles Baudelaire

Le Créateur, en obligeant l'homme à manger pour vivre, l'y invite par appétit et l'en récompense par le plaisir.

Jean Anthelme Brillat-Savarin

Moi-même la cherchant aux climats étrangers.

Jean Racine

La beauté est quelque chose d'animal, le beau est quelque chose de céleste.

Joseph Joubert

Prendre conscience, c'est transformer le voile qui recouvre la lumière en miroir.

Lao Tseu

Ils ont volé les miséreux que nous sommes. Même les plus pauvres ont quelque chose à donner aux charognards.

Laurent Gaudé

Mais tout change sans cesse en nous comme hors de nous ; même les paroles que je prononce en ce moment me changent.

Marguerite Yourcenar

Cela est vrai : à quoi bon tant barguigner et tant tourner autour du pot ? Il faut savoir vitement le court ou le long d'une maladie.

Molière

Il y a dans le dribble quelque chose de très beau, un esthétisme fou, mais il y aussi une vraie violence. Le dribble est à l'image du Brésil. Comme la société où il a émergé, c'est un geste sans cesse sur le point de rupture.

Olivier Guez

Mick Jagger nous appelait le Monstre-à-Quatre-Têtes parce qu'on allait partout ensemble et qu'on s'habillait de la même façon. On avait tous des pulls à cols roulés, des costumes sombres et la même coupe de cheveux, alors c'est vrai qu'on avait un peu l'air d'un monstre à quatre têtes.

Paul McCartney

Pourquoi les mots, cette précision brutale qui maltraite nos complications ?

Simone de Beauvoir