Tout d'abord je trouve toujours choquant et blessant de s'arroger le monopole du coeur. Vous n'avez pas Monsieur Mitterrand, le monopole du coeur ! Vous ne l'avez pas... J'ai un coeur comme le vôtre qui bat à sa cadence et qui est le mien. Vous n'avez pas le monopole du coeur.