Citation de Valery Larbaud

← Précédent Suivant →
Je n'ai eu que des brunes pour amies, de ces femmes qui ont toujours l'air d'être à l'ombre, comme les sources.... - Valery Larbaud

Je n'ai eu que des brunes pour amies, de ces femmes qui ont toujours l'air d'être à l'ombre, comme les sources.

Valery Larbaud

Toutes les citations de Valery Larbaud →

Explorer les Citations

(Les misères de l'homme.) Ce sont misères de grands seigneur, misères d'un roi dépossédé.

Blaise Pascal

Dans cette opposition de sentiments, il faut qu'un arbitre, choisi par les parties, vous accommode, ou que le sort des armes décide : il n'y a point de milieu.

Fénelon

L'opéra en anglais, c'est juste aussi émouvant que le base-ball en italien.

H. L. Mencken

Ce Vatinius avoit des escrouelles au long du col, à raison de quoy Ciceron, l'ayant un jour ouy plaider, l'appella orateur enflé.

Jacques Amyot

Les femmes aiment la force sans l'imiter ; les hommes, la tendresse sans la payer de retour.

Jean Paul

L'homme est né pour souffrir, oublier et se taire.

Léon Dierx

Voyons ! tu as bien le temps d'être avec ta vieille... C'est moi qui ne pourrais pas vivre avec une figure d'antéchrist comme ça !

Les frères Goncourt

L'image est un modèle de la réalité.

Ludwig Wittgenstein

Arrêtez : malheur à l'homicide ! Le sang retombera sur sa tête perfide.

Marie-Joseph Chénier

La jeune femme lui jeta un coup d'oeil distrait. Elle s'ennuyait à périr. Une journée de plus dans cette ville sinistre, où elle était contrainte de séjourner depuis plusieurs jours, lui paraissait une épreuve insurmontable.

Peter Tremayne

En amour les yeux sont notre guide.

Properce

J'ai trente-trois ans, tout l'avenir devant moi, je travaille pour le dictionnaire, j'écris des dates de vie et de mort, des noms propres et des noms communs, j'écris la vie des autres en attendant de vivre la mienne.

Tania de Montaigne

Pissenlit. A la pointe d'un chalumeau, la sphère de graines blanches que le vent crève et emporte. Espèce de bulle de savon des prés qui semble avoir été soufflée par la terre.

Victor Hugo

Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée.

Victor Hugo

Dieu n'est-il pas le poète suprême en tant qu'il improvise les mondes ?

Vladimir Jankélévitch