Citation de Victor Hugo

← Précédent Suivant →
Dieu ! pourquoi l'orphelin dans ses langes funèbres - Dit-il : "J'ai faim." L'enfant, n'est-ce pas un oiseau ? - Pourquoi... - Victor Hugo

Dieu ! pourquoi l'orphelin dans ses langes funèbres - Dit-il : "J'ai faim." L'enfant, n'est-ce pas un oiseau ? - Pourquoi le nid a-t-il ce qui manque au berceau ?

Victor Hugo

Toutes les citations de Victor Hugo →

Explorer les Citations

Pour la plupart des gens, aimer est un détail de l'existence, au même titre que le sport, les vacances, les spectacles. L'amour a intérêt à être pratique, à cadrer avec la vie que l'on s'est choisie.

Amélie Nothomb

Les nègres nus crient, rient et se querellent en montrant des dents de cannibales.

André Gide

Chez les grands auteurs, ce n'est pas tant leurs livres que nous retenons mais leur nom.

Anonyme

En chacun de nous, il y a un regret qui veille. Le mien s'appelle David. Pour d'autres, il n'a que le nom d'une fuite sans retour.

Daniel Cordier

Etymologie : Rien de plus facile à trouver avec le latin et un peu de réflexion.

Gustave Flaubert

Les détails diminuent la portée des lignes, ils nuisent à l'intensité émotive, nous les rejetons.

Henri Matisse

On résout certains problèmes par approximation, en négligeant de petites quantités.

Jean Le Rond d'Alembert

Les hommes se transmettent la vie comme les coureurs se passent le flambeau.

Lucrèce

Le monde entier est en train de devenir une seule population, et cet aspect de la globalisation ne peut être que bénéfique sur le plan génétique.

Luigi Luca Cavalli-Sforza

Plus souvent on meurt, plus intensément on vit.

Max Beckmann

Il est dans la nature de la femme de soumettre les intérêts du présent à ceux de l'avenir. L'homme est généralement motivé par l'occasion qui passe.

Napoleon Hill

Autant de brouillard en mars, - Autant d'orages en été.

Proverbe Français

L'éléphant ne peut courir et se gratter les fesses en même temps.

Proverbe Zimbabwéens

En général on peut jeter à bas les ennuis, les soucis de la vie, pour quelques heures, on dépouille sa propre personnalité pour endosser une autre ; et l'on marche dans le rêve d'une autre vie, oubliant tout.

Sarah Bernhardt

Allez mon vieux, pense à moi. Ne m'oublie pas. Si tu m'oublies, je n'existe plus.

Velibor Colic