Citation de Victor Hugo

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Mes amis, retenez ceci, il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n'y a que de mauvais cultivateurs.... - Victor Hugo

Mes amis, retenez ceci, il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n'y a que de mauvais cultivateurs.

Victor Hugo

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Quand on vit un grand malheur dans sa vie, on a l'impression que le regard des autres ne nous autorise pas à être joyeux, alors que tout au fond de soi, on sent que c'est cela qui permet de se maintenir en vie.

Agnès Ledig

Ne confonds pas l'amour avec le délire de la possession, lequel apporte les pires souffrances. L'amour véritable est un don, pur, mais un don de chacun à l'autre dans le respect de ce qu'il a encore à donner.

Antoine de Saint-Exupéry

Le chemin se construit en marchant.

Antonio Machado

La théorie existe pour que chacun n'ait pas, à chaque fois, à mettre de l'ordre et à se frayer une voie, mais trouve les choses ordonnées et éclairées : elle est destinée à éduquer l'esprit du futur chef de guerre.

Carl von Clausewitz

Deux antiques tilleuls cachent sous leur robe de verdure une telle quantité de bois mort...

Guy de Maupassant

A tous les coeurs bien nés, que la patrie est chère !

Heinrich Heine

Ce qui est contraire est utile et c'est de ce qui est en lutte que naît la plus belle harmonie ; tout se fait par discorde.

Héraclite

Tout pouvoir tend à corrompre. Un pouvoir absolu corrompt absolument.

Lord Acton

Si vous n'avez aucune volonté de le changer, vous n'avez pas le droit de le critiquer.

Mark Twain

Ce sont les gens sans affaires qui en suscitent aux autres.

Proverbe Chinois

Mes fils ressemblent à des chiots. Ils débordent d'énergie.

Sharon Stone

Il faut croire à la magie, lorsque le monde ne cesse d'empirer, on a besoin de magie.

Steven Spielberg

La chrétienté a aboli le christianisme sans trop le savoir.

Søren Kierkegaard

Le temps fait toujours de ses témoins des témoins oublieux.

Thomas Bernhard

A compter de ce jour, ils ne mangèrent plus de brouet de maïs que deux fois par jour, une fois le matin, une fois le soir. Le reste du temps, ils le passaient au lit, sans un mot, sans un geste. Dès qu'on bougeait, le ventre se mettait à gargouiller et on avait faim. Calmement étendu sur le lit, sans dire un mot, sans faire un geste, on s'endormait.

Yu Hua