Citation de Vincent Jouve

Le meilleur moyen de comprendre la "force" et la pérennité de certaines oeuvres n'est-il pas en effet de s'interroger sur ce que les l... - Vincent Jouve

Le meilleur moyen de comprendre la "force" et la pérennité de certaines oeuvres n'est-il pas en effet de s'interroger sur ce que les lecteurs y trouvent ?

Vincent Jouve

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Ce n'est pas la souffrance de l'enfant qui est révoltante en elle-même, mais le fait que cette souffrance ne soit pas justifiée. La souffrance use l'espoir et la foi.

Albert Camus

Je crois au Dieu, qui a fait les hommes et non au Dieu que les hommes ont fait.

Alphonse Karr

La tyrannie est toujours mieux organisée que la liberté.

Charles Péguy

On m'a payé 2,5 millions pour jouer dans Daredevil et 4 pour Phone Game, je me demande souvent pourquoi on me donne tout cet argent... Mais je ne pose pas de questions et j'encaisse.

Colin Farrell

Si jamais Dieu lui fait grâce, - Le ciel deviendra un enfer.

Épitaphe Anonymes

Sans regret nous rejetons le bouquet dont les fleurs ont perdu leur parfum et leurs riches couleurs.

Félix Bogaerts

La fausse modestie est le dernier raffinement de la vanité.

Jean de La Bruyère

Les gens à qui tout réussit sont souvent déconcertés et lâches dans l'adversité. Leur coeur n'est pas fait pour l'échec.

Jean Dutourd

En amour, une faveur qui n'est pas exclusive est une injure.

Jean-Jacques Rousseau

Ne laissez pas les mots penser à votre place. Ayez une parole habitée.

Jiddu Krishnamurti

Les passions humaines, comme les forces de la nature, sont éternelles.

Léon Bourgeois

Souvent les grands artistes, tout en étant mauvais se servent de leurs vices pour arriver à concevoir la règle morale de tous.

Marcel Proust

L'excellence, dans quelque domaine que ce soit, exige qu'on s'y consacre entièrement.

Monique Corriveau

La différence entre les jeunes et les vieux, c'est que les vieux ont beaucoup plus de souvenirs et beaucoup moins de mémoire !

Paul Ricoeur

Avouons-le, les têtes qui nous sont la plupart du temps accessibles sont inintéressantes, nous n'en tirons guère plus que si nous nous trouvions en compagnie de pommes de terre hypertrophiées, qui, plantées sur des corps souffreteux affublés de vêtements d'un goût discutable, traîneraient une existence piteuse, mais hélas pas du tout pitoyable.

Thomas Bernhard