... dans le silence amical de la lune complice.
Virgile
La vraie joie est de pouvoir papillonner au-dessus d'une multitude de possibilités, un peu anarchiques, un peu dérisoires.
Andreï Makine
chez un ami, on admire ses grandes qualités, et on adore ses petits défauts
Anonyme
Réduits à nous-mêmes, nous nous réduisons à rien. Au point qu'il nous arrive de nous tuer.
Daniel Pennac
Le copier/coller/couper et l'outil informatique indispensable, pratique et le plus utilisé des applications de votre PC. Sachant que notre cerveau est l'ordinateur qui gère notre corps, il aurait été judicieux d'avoir aussi le copier/coller/couper des éléments de notre vie. Le destin tant que le hasard, le passé tant que le présent, de par nous-mêmes en seraient contrôlés en toute simplicité.
Descrea
Deux étions et n'avions qu'un coeur.
François Villon
La famille est le plus doux des liens.
Henri-Frédéric Amiel
Quand les hommes souffrent injustement, ce sont les témoins de leur souffrance qui doivent fatalement en porter la honte.
J. M. Coetzee
A la profession épineuse de journaliste, le président Cousin en joignit une autre, qu'il exerça avec la même probité, celle de censeur royal.
Jean Le Rond d'Alembert
Tout est bien sortant des mains de l'auteur des choses ; tout dégénère entre les mains de l'homme.
Jean-Jacques Rousseau
Truffaud, Chabrol, Demy, Rohmer se sont fait ramasser par le système...
Jean-Louis Bory
Evidemment, les critiques n'ont été créés que le septième jour. S'ils avaient été créés le premier, qu'auraient-ils eu à faire ?
Les frères Goncourt
Il est bon quelquefois que les lois ne paraissent pas aller si directement au but qu'elles se proposent.
Montesquieu
Mépriser les richesses, c'est ressembler au renard de La Fontaine. Le sage ne les méprise point, il les craint.
Pigault-Lebrun
Quand la colère emplit ton coeur, ne laisse pas ta langue aboyer en vain.
Sappho
Etant elle-même beauté, la jeunesse n'a pas besoin de sérénité : dans l'excès de ses forces vives, elle aspire au tragique, et dans sa naïveté, elle se laisse volontiers vampiriser par la mélancolie.
Stefan Zweig