Citation de Voltaire

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Me voici donc en ce lieu de détresse, Embastillé, logé fort à l'étroit, Ne dormant point, buvant chaud, Mangeant froid.... - Voltaire

Me voici donc en ce lieu de détresse, Embastillé, logé fort à l'étroit, Ne dormant point, buvant chaud, Mangeant froid.

Voltaire

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Condoléances : Manière de démontrer que le deuil est un moindre mal à côté de la sympathie.

Ambrose Bierce

Les sentiments que nous feignons, nous finissons par les éprouver.

Benjamin Constant

Dieu est pour vous le tapis sous lequel vous balayez tous les mystères de l'Univers, tous les défis jetés à notre intelligence. Vous cessez simplement de réfléchir et vous dites : Dieu l'a fait !

Carl Sagan

Le Français serait heureux d'être un minable, si sa femme ne se plaignait pas tout le temps d'être la femme d'un minable.

Georges Wolinski

Ma richesse consiste, non pas à accroître ma fortune, mais à diminuer mes besoins.

J. Brotherton

Il aima mieux pour son gendre un homme qui eust faulte de biens, que des biens qui eussent faulte d'homme.

Jacques Amyot

J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout : il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un coeur mélancolique.

Jean de La Fontaine

L'esprit est un instrument de musique avec une certaine gamme de tons, au-delà desquels s'étend un silence infini.

John Tyndall

Et le ruisseau murmure sans cesse contre les cailloux qui voudraient l'empêcher de courir.

Jules Renard

Je prends mes renseignements avant d'ouvrir à une étrangère la porte d'une famille honorable.

Julien Green

Guère épais : Version de poche du célèbre roman de Tolstoï

Marc Escayrol

Notre susceptibilité est révélatrice de notre volonté d'égalité.

Max Gallo

Pour ceux que le présent favorise, il est facile d'oublier le passé, même si on n'y parvient jamais tout à fait.

Rona Jaffe

Quand tu crois que tout t'échappe et que tu ne peux plus rien faire, c'est que tu ne t'es pas posé la bonne question.

Thierry Serfaty

Le chagrin, à certaine dose, prouve beaucoup d'affection ; mais à trop forte dose, il prouve toujours quelque faiblesse d'esprit.

William Shakespeare