Je ne pense pas qu'il y ait quelque chose à admirer en mentant, en trichant ou en philanthrisant. Mais il pourrait y avoir quelque chose à admirer en ne brûlant pas les gens sur le bûcher parce qu'ils ont ces faiblesses.
Warren Beatty
Vous avez beau avancer dans la vie et faire chaque année - ou chaque mois - de nouvelles rencontres, rien ne remplace les amitiés tissées dans l'enfance et qui ont survécu au passage à l'âge adulte.
Alexander McCall Smith
Tout roman ne peut pas faire un drame, mais tout drame peut faire un roman.
Alexandre Dumas
La justice élève les nations, et le péché rend les peuples misérables.
Bible
Ne mettez jamais en doute le courage des Français, ce sont eux qui ont découvert que les escargots étaient comestibles.
Doug Larson
Toute science enferme au fond d'elle le doute, Comme une mère enceinte étreint un enfant mort.
Emile Verhaeren
Je préfère avoir affaire à des ennemis qu'à des amis. Ceux là, du moins, n'osent pas vous dire des méchancetés en plein visage, selon l'habitude chère aux bons amis !
Françoise Xenakis
Donjon : Eveille des idées lugubres.
Gustave Flaubert
Remettre en leur naturel les joinctes des membres desnouez et deboitez.
Jacques Amyot
Ce qui est désespérant avec les journalistes, c'est que, quand ils reproduisent vos propos dans leur gazette, ils vous font parler comme eux. Moyennant quoi, on a toujours l'air d'un imbécile.
Jean Dutourd
J'aime bien les restaurants gastronomiques mais je ne donnerais jamais de pourboire à un maître d'hôtel qui goûte mon vin, qui vole mes mégots et qui brûle mes bananes.
Patrick Sébastien
En commandant aux autres, sache te gouverner toi-même.
Pittacos
Celui qui ne parle ni ne rit ne connaît rien à la vie.
Proverbe Chinois
Septembre se nomme, - Le mai de l'automne.
Proverbe Français
Qu'ils me fassent donc un procès, eux, pour avoir révélé un secret d'Etat. Cela me donnera l'occasion de raconter ce qui s'est passé dans l'Hindou Kouch... Vous vouliez savoir d'où vient ma colère. Elle vient des tripes.
Robert Littell
Le seul vrai lecteur, c'est le lecteur pensif. C'est à lui que ce livre est adressé.
Victor Hugo