Citation de William Shakespeare

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Mais l'amour est aveugle, et les amants ne peuvent voir Les plaisantes folies qu'ils commettent eux-mêmes.... - William Shakespeare

Mais l'amour est aveugle, et les amants ne peuvent voir Les plaisantes folies qu'ils commettent eux-mêmes.

William Shakespeare

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L'idée de l'expérience ne remplace nullement l'expérience.

Alain

Les fables de La Fontaine sont plutôt la philosophie dure, froide et égoïste d'un vieillard que la philosophie aimante, généreuse, naïve et bonne d'un enfant. C'est du fiel.

Alphonse de Lamartine

Qui marche creuse le chemin. Notre tombe est demain.

Charles de Leusse

Tout homme doit être respecté comme une fin absolue en lui-même ; et c'est un crime contre la dignité qui lui appartient en tant qu'être humain, de l'utiliser comme un simple moyen à des fins extérieures.

Emmanuel Kant

Se révolter ou s'adapter, il n'y a guère d'autre choix dans la vie.

Gustave Le Bon

Le hasard est le plus grand romancier du monde ; pour être fécond, il n'y a qu'à l'étudier.

Honoré de Balzac

La vie serait sans doute insupportable sans une certaine inconscience.

Jacques Languirand

- Je commence à être inquiet, mon épouse est partie il y a deux semaines en disant qu'elle allait voir sa mère, elle n'est toujours pas revenue. Que feriez-vous à ma place, Jean ? - La vaisselle.

Jean Yanne

L'esprit libre et curieux de l'homme est ce qui a le plus de prix au monde.

John Steinbeck

Plus d'Etats ont péri parce qu'on a violé les moeurs que parce qu'on a violé les lois.

Montesquieu

L'intention des parfums est de produire un effet enivrant et séduisant.

Patrick Süskind

Aux dernières étrennes, j'ai offert une chaise à ma belle-mère. Aux prochaines, je la ferai électrifier.

Pierre Doris

À vieille mule, frein doré.

Proverbe Français

Malgré les liens du sang, on peut appeler étrangère une personne qui ne sait rien de nos intérêts les plus chers, et que l'on ne voit qu'une fois par an.

Stendhal

Les médecins administrent des médicaments dont ils savent très peu, à des malades dont ils savent moins, pour guérir des maladies dont ils ne savent rien.

Voltaire