Citation de Yanick Lahens

← Précédent
Du jour où j'ai compris que la mort pouvait me dérober un visage aimé, du jour où j'ai compris que ceux que j'aimais étaient mortels,... - Yanick Lahens

Du jour où j'ai compris que la mort pouvait me dérober un visage aimé, du jour où j'ai compris que ceux que j'aimais étaient mortels, j'ai voulu les aimer plus forts.

Yanick Lahens

Toutes les citations de Yanick Lahens →

Explorer les Citations

La conscience : ce qui se sent mal quand tout le reste se sent bien !

Alan Bennett

Moi en train de voter - oui ce sont vraiment mes cheveux !

Donald Trump

Il n'y aura jamais assez d'heures pour pour venir à bout de la mémoire.

Edmond Jabès

Pour les pauvres, vivre c'est nager en apnée, en espérant atteindre une rive ensoleillée avant la gorgée fatale.

Fatou Diome

Bien pire que la mort, c'était la destruction de notre âme qui était le programme de l'univers concentrationnaire.

Geneviève de Gaulle-Anthonioz

Pucelle : Ne s'emploie que pour Jeanne d'Arc, et avec "d'Orléans".

Gustave Flaubert

Je suis un gaulliste social parce que je considère que pour distribuer la richesse, ce qui est nécessaire pour maintenir le pacte social, il faut d'abord la produire.

Jean Castex

Les morsures de la conscience sont les motions sadiques du christianisme.

Karl Kraus

L'amour est la seule chose que l'on peut emporter avec soi quand vient l'heure du départ.

Louisa May Alcott

Il savait éviter ses sautes d'humeur comme un torero sait écarter un taureau bluffeur.

Pierre Mac Orlan

Tête sage, langue courte.

Proverbe Italien

Celui qui a visité dix fois une cathédrale a vu quelque chose ; celui qui a visité une seule fois dix cathédrales n'a pas vu grand-chose.

Sinclair Lewis

Dans l'excès du bonheur lire est bien difficile, cependant on s'ennuie à la longue si l'on ne lit pas.

Stendhal

Au commencement de l'année 1757 le carnaval battait son plein à Paris. J'ai toujours aimé ces réjouissances-là. Chacun s'y déguise, comme le reste de l'an, mais par exception c'est sciemment.

Stéphane Audeguy

Je passerai l'été dans l'herbe, sur le dos, - La nuque dans les mains, les paupières mi-closes, - Sans mêler un soupir à l'haleine des roses - Ni troubler le sommeil léger des clairs échos.

Sully Prudhomme