Citation de Yann Apperry

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Il faut au moins deux morts pour un vivant.... - Yann Apperry

Il faut au moins deux morts pour un vivant.

Yann Apperry

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L'homme est faible, et le curieux sera toujours un pantin.

Alain Monnier

L'Amour, la Poésie, c'est par ce seul ressort que la pensée humaine parviendra à reprendre le large.

André Breton

Avant que ne se lève le jour, mille événements naissent, changeant ainsi le cours des circonstances.

Anonyme

L'amour est insatiable de plaisirs et ses souhaits occupent la place des forces.

Claude-Adrien Helvétius

Je me souviens d'avoir passé toute une récréation enfermé dans les cabinets tant j'avais peur de la "balle-au-chasseur" lancée contre moi à bout portant...

François Mauriac

Les raisons du commerce sont toujours les plus fortes.

Françoise Giroud

Mon Automne éternelle ô ma saison mentale - Les mains des amantes d'antan jonchent ton sol - Une épouse me suit c'est mon ombre fatale - Les colombes ce soir prennent leur dernier vol.

Guillaume Apollinaire

Dieu s'attend que nous défendions notre propre cause.

Iain Pears

Les choses sont comme les êtres, on peut toujours en y mettant le prix les posséder.

Jean Basile Bezroudnoff

Lamotte donna peu de temps après avec Destouches la pastorale d'Issé, qui n'eut pas moins d'applaudissements que l'Europe galante.

Jean Le Rond d'Alembert

Le vrai voyageur n'a pas de plan établi et n'a pas l'intention d'arriver.

Lao Tseu

Prendre connaissance des horreurs de ce monde et ne plus y penser ensuite, ce n'est pas du refoulement. C'est une libération.

Laura Kasischke

Elle respectait le silence d'un homme à son chevalet. Elle s'entendait à laver des brosses, et elle reconnaissait vaguement des tons distingués dans une toile. En un mot, elle était "du bâtiment".

Les frères Goncourt

Inutile de vous dire, que si cet héritage tombe entre des mains mal éclairées, c'est l'Apocalypse en édition populaire. Le siècle numéro 20 pourrait bien être le dernier de la série, si Madame votre "cousine" se met à déconner.

Michel Audiard

... Voici qu'enfin la traversée - Effrayante, d'un astre à l'autre, est commencée !

Victor Hugo