Ma mère n'adorait rien tant que m'insulter ; elle proférait à mon égard des insanités terribles que les adultes réservent généralement aux adultes. (...) Quand elle m'abandonnait enfin à ma classe, à mes camarades, à ma maîtresse, ma mère continuait de grouiller dans ma tête, à la façon d'un mille-pattes.
J'ai trop souci de la vérité pour taire le fâcheux accueil que je dus essuyer à mon retour au foyer.