Citation de Yannick Grannec

← Précédent Suivant →
Charles Darwin a dit que les mathématiciens sont des aveugles cherchant dans une pièce sombre un chat noir qui n'existe pas.... - Yannick Grannec

Charles Darwin a dit que les mathématiciens sont des aveugles cherchant dans une pièce sombre un chat noir qui n'existe pas.

Yannick Grannec

Toutes les citations de Yannick Grannec →

Explorer les Citations

Il y a une certaine incompatibilité, voire un choix nécessaire, entre comprendre et se faire plaisir.

Didier van Cauwelaert

Le Cyclope : - C'est être fou, après boire, de n'aimer pas l'orgie. - Ulysse : - Mais quand on est ivre, rester au logis, c'est être sage.

Euripide

Les livres que l'on écarte sont toujours ceux dont on s'aperçoit plus tard qu'on en a justement besoin.

Françoise Giroud

Lorsque l'on n'a pas tout donné, on n'a rien donné.

Georges Guynemer

Quand on est pris dans l'engrenage d'une pareille passion ou d'un pareil vice, il faut y passer tout entier.

Guy de Maupassant

L'amour projette toujours une ombre de haine - et inversement. La tendresse n'a pas d'envers ; elle est ou elle n'est pas. Indivise pas fragilité.

Jacques Brault

Laissez-le s'estimer pour qu'il soit estimable.

Jacques Delille

Le malheur bouleverse comme la bile, ça remonte à la bouche et alors les paroles sont amères.

Jacques Roumain

Il n'y a que l'homme religieux qui soit toujours le même. C'est que son Dieu ne change pas.

Joseph Joubert

La moralité n'est bien souvent qu'une affaire d'éclairage et tu es le gardien de ton propre phare.

Marcel Jouhandeau

Manichéisme, psychologisation, moralisation, démagogie, populisme, haine de l'histoire et déconsidération de l'intelligence sont des recours dangereux pour des idéologies fallacieuses.

Michel Onfray

Un être humain peut vivre sans voir, un aveugle est aussi un homme. Mais quand on n'est pas vu, on n'est rien.

Per Olov Enquist

Comment sortir du marxisme ? A reculons !

Sarane Alexandrian

Tranquille, souriant à la mitraille anglaise, - La garde impériale entra dans la fournaise.

Victor Hugo

Marchez doucement car vous marchez sur mes rêves.

William Butler Yeats